Publié le 25 Décembre 2010

Rédigé par Ecole de Tai Ji Quan Côte basque

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Publié le 23 Décembre 2010

 

RTE JOURNAL 20 DÉCEMBRE 2010

Chine : la carte des maisons du sang

Écœuré par la multiplication des expropriations d'agriculteurs et les méthodes d'expulsion employées par les autorités, un blogueur chinois a décidé d'agir. Il a créé une carte Google participative intitulée "la carte des maisons de sang" pour recenser les cas d'évictions violentes et éviter qu'elles soient passées sous silence. Sur cette carte, on peut voir très précisément où a eu lieu l'incident, ce qui, selon le blogueur, devrait pousser certaines personnes à ne pas acheter de logements construits sur cette zone. Le site permet également de savoir précisément ce qui s'est passé. Une flamme indique une immolation en joignant différents symboles : le feu, un volcan, une manifestation, un lit, un décès, etc. En réaction à cette carte subversive, la machine propagandiste du régime chinois a fonctionné de manière paradoxale. Certain blogs et articles qui évoquaient cette "carte des maisons du sang" ont été censurés, ainsi que la recherche Google en chinois, qui mène désormais à une page blanche. Pourtant, l'agence de presse officielle Xinhua y avait consacré un long article, toujours accessible, avant la mise en place de la censure. Le blogueur engagé en faveur des paysans expropriés a exceptionnellement accepté de répondre aux questions d'ARTE Journal. Souhaitant rester anonyme, il a choisi le pseudo"Bloody Map". Une interview réalisée par Benoit Guivellic pour ARTE Journal et "Aujourd'hui la Chine".


Benoit Guivellic pour ARTE Journal : quelle était votre intention en créant cette carte ? 
Bloody Map : "Mon but est de collecter et de lister les cas d'expulsions violentes qui ont ou auront bientôt disparu du champ de vision du public. Il y a des évictions forcées qui se déroulent en ce moment même et qui nécessitent une plus grande couverture médiatique. Pour autant, les répercussions de la "carte des maisons de sang" sont limitées. Les gens ne peuvent pas attendre d'une initiative comme celle-ci qu'elle suscite suffisamment d'attention pour mettre fin aux expulsions forcées actuelles. Le but de cette carte est plutôt de présenter des preuves, pour permettre aux consommateurs de prendre leurs décisions". 

ARTE Journal : avec cette carte, vous appelez la population à agir... 
Bloody Map : "Il y a 30 ans, la plupart des Chinois pensaient que les intérêts de l'État étaient supérieurs aux intérêts personnels. Mais aujourd'hui, même si la phrase "les biens personnels sont intouchables" est inscrite dans la constitution chinoise, je ne crois pas qu'elle soit inscrite dans le cœur des Chinois. Par exemple, l'immolation de Yihuang, en septembre, a été très suivie par le public. Les médias ont critiqué les responsables du gouvernement local, qui ont finalement été obligés de démissionner. 
Mais l'avis des habitants locaux était plus nuancé, car ils trouvaient que cet incident empêchait le développement de la région. Alors il faut se poser la question suivante : si il y avait quelqu'un qui refusait de se faire expulser et que ce refus mettait en cause mon intérêt personnel, est ce que je suis tout de même de son côté? Est-ce que je le soutiendrais ? "

ARTE Journal : quelles réactions votre carte a-t-elle provoqué ? 
Bloody Map : "La carte des maisons de sang a été publiée le 8 octobre dernier. Le 20 du même mois, l'agence Chine Nouvelle y a consacré un article et une semaine plus tard, une dizaine de médias chinois en avaient parlé. Aujourd'hui, si on tape sur Google "La carte des maisons de sang", on obtient 1 640 000 résultats. Selon les statistique de Baidu, le Google chinois, les Chinois s'intéressent plus à cette carte qu'à Li Yuchun (une gagnante de d'un jeu de télé-réalité local, ndlr). 

ARTE Journal : pourquoi? 
Bloody Map : "Je pense que c'est parce qu'il y a beaucoup de Chinois, comme moi, qui ont envie de faire quelque chose pour changer la situation actuelle dans notre pays. Quand les gens regardent la carte, à première vue, ils sont dans un état de colère, de tristesse ou de choc. Mais après la colère, la carte permet de réfléchir sur le fond du problème". 

ARTE Journal : pensez vous que votre carte peut faire évoluer la situation? 
Bloody Map : "Ce phénomène d'expropriations violentes est un problème récurrent et compliqué. Libérer sa colère est simple, mais cela ne sert à rien pour changer les choses. Nous sommes habitués à nier notre propre responsabilité et à la rejeter sur les autres. Chacun pense qu'il est innocent. Sur le court terme ça marche, si on peut trouver des personnes à qui faire porter la responsabilité. Mais cela peut-il vraiment résoudre le problème ? Si grâce à cette carte, les consommateurs peuvent être amenés à refuser d'acheter les maisons du sang peut être que les sociétés immobilières pourront arrêter les travaux, que les législateurs pourront voter des lois et que le gouvernement central pourra ré-évaluer sa politique. Je sais que c'est très compliqué, je ne suis pas quelqu'un de naïf. Mais je pense que ce n'est que grâce à la solidarité, si chacun prend sa part de responsabilité, que nous pourront atteindre notre objectif. C'est pourquoi il faut refuser d'oublier. Si un jour, les maisons entachées de sang ont leur musée, que les Chinois osent montrer à nos enfants le sang et les larmes qu'on a versé pour nos terres, alors la Chine sera un pays vraiment harmonieux et grand. Tout passe très vite, mais la "carte des maisons de sang" reste , elle a une vie constante et libre.En cas de besoin, allez jeter un coup d'œil, elle est toujours là. Elle est comme un stèle couverte d'herbes sauvages, mais elle est là". 
Les Chinois luttent encore et toujours contre les expropriations

En Chine, de plus en plus d’expropriés s’immolent par le feu pour faire valoir leurs droits. Reportage vidéo.

Beaucoup de Chinois, sous la menace d'évictions, n'hésitent pas à recourir à ces actions de plus en plus extrêmes pour exprimer leur refus d'indemnisations jugées trop faibles et des méthodes expéditives des autorités locales.

Ces dernières sont responsables de la propriété et de la gestion des terres dans le système communiste chinois, mais elles sont souvent accusées de collusion avec les promoteurs.

A la campagne et dans les villes, ces dernières années, les expropriations ont conduit à la multiplication de familles qui résistent et s'accrochent à leur maison.

Note : Nous postons pour l'instant nos vidéos sur Youtube. Elles ne sont, par conséquent, pas visibles de Chine continentale sans proxy ou sans vpn.


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Publié le 22 Décembre 2010

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Publié le 19 Décembre 2010

LE 06.12.2010  © 2010 CHINE INFORMATIONS

carte de la frontière Inde - Chine

Avec l'Inde, une phase intense de travail diplomatique est en cours.

Le 17 noevembre, S.M. Krishna et N. Rao, les Ministre et Secrétaire des affaires étrangères préparent à Pékin la visite de Wen en décembre. Les 29 et 30 novembre, le conseiller d'Etat Dai Bingguo et S.S. Menon, Conseiller national à la défense vont tenir la 14ème ronde de fixation des 2000km de frontières communes. Fin octobre, Wen rencontrait M. Singh, son homologue pour affirmer que «la Terre était assez grande» pour les ambitions des deux nations.

Tous ces courants seraient prometteurs, s'ils n'étaient contrebalancés par des signaux adverses. Comme le renforcement de la défense en Arunachal indien revendiqué par la Chine sous le nom de « Sud-Tibet ». Delhi y déploie deux divisions mécanisées et 36.000 hommes, et de part et d'autre, routes et aéroports se construisent—pour pouvoir acheminer rapidement des renforts si nécessaires.

Autre litige : le barrage de Zangmu au Tibet (à 325km de Lhassa) sur la Yarlung Zangbo, mieux connu en Inde sous le nom de Brahmapoutre, fleuve sacré. A 3260m d'altitude, cet investissement de 1.2 milliars de dollars du groupe Huaneng produira 510Mw/an. Delhi craint que la Chine ne détourne l'eau pour l'irrigation. Pékin dément, tout en rappelant que Delhi a fait exactement de même sur la Chenab, au barrage de Baglihar, aux portes du Pakistan...

Enfin, les efforts diplomatiques en cours laissent présager qu'une percée convaincante sera réalisée pour prouver aux opinions la volonté des gouvernements de dépasser les préjugés

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Publié le 16 Décembre 2010

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Publié le 13 Décembre 2010

Écrit par Wang Zhen et Rona Rui   
 
Les rassemblements «anti-japonais» continuent en Chine, à distance de Pékin où des dizaines de milliers demanifestants avaient défilé fin octobre. Focalisés sur la question territoriale des îles Diaoyu que revendiquent Chine et Japon, les premiers rassemblements ont été organisés à la mi-octobre par des organisations étudiantes contrôlées par le gouvernement chinois, et avec le plein soutien de Pékin, indique l'Apple Daily de Hong Kong.

Un soutien qui a maintenant complètement disparu au vu de l'évolution des revendications: dans un cortège à Baoji, dans la province de Shaanxi, sont ainsi apparues des banderoles contre les prix de l'immobilier et la corruption. Les médias japonais se sont évidemment régalés et la télévision Asahi a abondamment montré ces banderoles ainsi que celles appelant à un rapprochement avec Taïwan.
D'après JiJiPress, agence japonaise, une autre manifestation rassemblant un millier de personnes a eu lieudans la ville de Deyang, au sud-ouest de la Chine, durant laquelle les manifestants se sont heurtés à la police. Des journalistes japonais ont été détenus pour «raisons de sécurité».

Étudiants bloqués

À Baoji et dans d'autres villes, les universités ont imposé des sessions de cours pendant le week-end et limité drastiquement les déplacements d'étudiants. Un étudiant de l'université Jiaotong à Xi'an explique par exemple que les étudiants ne sont autorisés à quitter le campus que si un responsable universitaire leur délivre l'autorisation écrite. «Oui, nous sommes bloqués. Il y a eu des manifestations à Xi'an, donc de nombreux établissements sont verrouillés, les pires endroits sont Xi'an et Zhengzhou»

Dans un de ses articles, le Quotidien du Peuple demande aux étudiants d'exprimer leur patriotisme «rationnellement et conformément à la loi».
Derrière le mécontentement des étudiants, la rumeur persistante selon laquelle le gouvernement chinois aurait signé un accord secret avec le Japon par lequel il maintient le statu quo et renonce à affirmer des revendications territoriales sur les îles.

Chen Yonglin, ancien diplomate chinois réfugié au Canada, juge plausible l'existence d'un tel accord et comprend les dénégations de Pékin: «Le régime chinois craint que les protestations étudiantes changent de cible. Cela pourrait devenir un mouvement démocratique, car les étudiants ont leurs propres pensées».

Zhu Yufu, un des fondateurs du parti démocratique chinois, rappelle que les manifestations étudiantes de 1989 avaient commencé par des défilés honorant la mémoire d'un dirigeant chinois, Hu Yaobang, qui voulait combattre la corruption à travers des réformes politiques: «La corruption à l'époque n'était pas au même niveau qu'aujourd'hui. Il y a maintenant plus de problèmes sociaux, plus de chômage.» Un signe, veut-il croire, qu'un nouveau printemps de la démocratie serait possible, à la suite des déclarations d'ouverture du Premier ministre Wen Jiabao.




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Publié le 11 Décembre 2010

Ceci n'est pas un code,

c'est juste pour les accros du bâton:

Hanches, Tête, Genoux, Tête, Hanches.

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Publié le 10 Décembre 2010

Écrit par Zhou Yu
 

 

La maison-mère de Roche, à Bâle, Suisse (Fabrice Coffrini/AFP/Getty Images)
La maison-mère de Roche, à Bâle, Suisse (Fabrice Coffrini/AFP/Getty Images)
La croissance du marché des greffes d’organes en Chine a attiré des investissements de laboratoires pharmaceutiques étrangers spécialisés dans le domaine de la transplantation. Un intérêt qui n’est pas du goût d’Amnesty International, au vu de la pratique des prélèvements forcés.

Pour Danièle Gosteli du département Économie et Droits de l’Homme d’Amnesty International Suisse, «un laboratoire qui continue à faire cela en étant informé du trafic d’organes ruine sa réputation».

Des sociétés comme le géant Roche, basé à Bâle en Suisse, développent en Chine des recherches cliniques sur les transplantations d’organes – en utilisant des organes probablement prélevés sur des personnes non consentantes. L’indignation provoquée par ces révélations n’ont pas conduit Roche à réévaluer sa stratégie de développement dans le domaine.

«Il y a un moment où l’on a besoin de se donner des critères plus élevés que ceux de la compétition entre laboratoires pharmaceutiques - surtout quand il est question de violation des droits de l’homme», explique Mme Gosteli, qui demande a minima que les laboratoires exigent du régime chinois «une transparence totale sur les sources d’approvisionnement en organes».

Selon les statistiques officielles, environ 10.000 greffes d’organes sont effectuées en Chine chaque année, dont deux tiers proviennent de condamnés à mort, en général sans preuve de leur consentement. Une enquête par des avocats internationaux a également révélé que les membres du mouvement bouddhiste Falun Gong ont largement été utilisés comme «réservoir d’organes» dans les camps de rééducation par le travail.
 

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Publié le 7 Décembre 2010

     
Écrit par Sonya Bryskine, La Grande Epoque   
 

 

Nouveaux records de pollution dans la péninsule(Ed Jones/AFP/Getty Images)
Nouveaux records de pollution dans la péninsule(Ed Jones/AFP/Getty Images)
D’La pollution de l’air devrait cette année faire à Hong Kong deux fois plus de victimes que l’épidémie de SRAS en 2003. Les statistiques rendues publiques par le Département d’épidémiologie de l’Université de Hong Kong montre que depuis début janvier, 594 personnes sont mortes prématurement à cause de la pollution suffocante de cette ville de sept millions d’habitants. Par comparaison, le SRAS qui avait déclenché une panique internationale aurait tué 299 personnes à Hong Kong

après l’Index Environmental Hedley (HEI), que publie en temps réel l’université de Hong Kong, la pollution a déjà coûté cette année à la région plus de  1,3 milliard de dollars hongkongais (soit environ 130 millions d’euros). Plus de 4,3 millions de consultations médicales liées à la pollution de l’air ont été enregistrées, qui ont conduit à 45.000 hospitalisations à ce jour.

En l’absence de signes marquants d’une volonté de se donner les moyens de réduire le smog permanent de la ville, la pression grandit à l’encontre de l’administration de Donald Tsang pour que des mesures de protection de l’environnement drastiques soient prises.

«Cela doit devenir la priorité du gouvernement», insiste Joanne Ooi, présidente du Clean Air Network. Le groupe associatif traverse régulièrement la ville dans une camion recouvert de ballons gonflables noirs pour attirer l’attention publique. «L’impact de la pollution de l’air sur la santé s’aggrave, et c’est extrêmement dangereux. Il n’y a pas de pire problème à Hong Kong.»

Depuis le début de l’année, les responsables locaux des questions environnementales demandent au gouvernement de remettre sur la table des discussions une proposition de 2008 pour accroître la taxation sur les véhicules utilitaires de plus de 15 ans.

En 2008, la proposition avait été rejetée par crainte d’effets délétères sur une économie déjà en berne. Un système incitatif de bonus à la casse avait par contre été mis en place pour encourager les conducteurs à changer leur véhicule pour des voitures propres. Mais seuls 13.000 propriétaires sur les 50.000 concernés par l’offre ont répondu à l’incitation.
Les véhicules de 15 ans et plus émettent en moyenne 20 fois plus de polluants que les voitures plus récentes. Ces émissions provoquent une myriade de problèmes de santé, particulièrement pour les plus jeunes et pour les personnes âgées.

Depuis juillet, l’index de pollution routière, qui mesure le niveau de gaz dangereux comme l’ozone et le dioxyde de soufre, a atteint la côte d’alerte deux jours sur trois, et des niveaux extrêmes un jour sur dix d’après l’agence pour l’environnement de Hong Kong. À de tels niveaux, des alertes publiques sont normalement lancées pour prévenir les personnes souffrant de troubles respiratoires, et il est recommandé à la population de s’éloigner des zones à fort trafic automobile.

La responsabilité du voisin chinois

D’après le HEI, 60 à 70% de la pollution de Hong Kong vient de l’activité économique du delta des perles, zone côtière s’étendant de Shenzhen à Canton et l’un des plus gros centres de production industrielle en Chine. L’incapacité d’offrir à cette zone un approvisionnement énergétique suffisant a conduit de nombreuses usines à installer des générateurs électriques bon marché, ne disposant pas des derniers systèmes de filtration des émissions – celles-ci sont poussées par les vents côtiers directement sur Hong Kong.

Cependant, les chiffres du HEI suggèrent également qu’une fois sur deux, la pollution est à mettre sur le compte des centrales thermiques et voitures de l’île et que la pollution de Chine continentale n’affecte réellement Hong Kong que pendant les mois d’hiver, durant lesquel le vent souffle du Nord.

Pertes économiques

Une enquête de la chambre de commerce des États-Unis, réalisée en 2008, estimait que 40% des entreprises américaines avaient des difficultés à recruter du personnel pour travailler à Hong Kong du fait des craintes face à la pollution.

Les mauvais jours, «quand vous allez dans la rue, vous pouvez pratiquement mâcher l’air», explique Mike Kilburn, un responsable de projet environnement chez Civic Exchange, que cite le journal USA Today.

Hong Kong, plateforme mondiale du commerce international dans les années 80 et 90, accueille des milliers d’entreprises étrangères. La Chambre de Commerce de Hong Kong a demandé au gouvernement local d’agir rapidement sous peine de perdre plus encore sa représentation étrangère.

Alex Fong, président de la Chambre, rappelle que ce sont les questions de qualité de vie, et en particulier la pollution de l’air, qui ont fait baisser l’attractivité de Hong Kong pour les affaires comme pour le tourisme. «Les gens dans la communauté des affaires, en particulier la diaspora hongkongaise, disent que l’air à Hong Kong ne s’améliore pas et que cela les empêche de recruter», ajoute M. Fong.

Hong Kong cherche sa voie hors du smog, depuis les incitations financières sous la forme de «primes à la casse» pour les véhicules anciens à la promotion des véhicules électriques – sans grande visibilité ni résultat à ce jour.

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Publié le 4 Décembre 2010

© 2010 CHINE INFORMATIONS

La plus grande perle lumineuse du monde coûte 250 millions d'euros

Les perles lumineuses sont légendaires en Chine et la plus grande perle lumineuse du monde vient d'être dévoilée à Wenchang dans la province chinoise de Hainan.

Cette perle de 6 tonnes et de 1,6m de diamètre est actuellement exposée à Wenchang, province de Hainan en Chine, et a été évalué à 2,2 milliards de yuans (environ 247 millions d'euros).

Quand elle a été découverte, la pierre avait une forme irrégulière mais a été sculptée sous la forme d'une sphère. Ce processus a demandé trois ans de travail en raison de la grande dureté de la pierre assez proche de la résistance du diamant.

On connait très peu de chose sur ces pierres vertes géantes et phosphorescentes de Chine. Les non-connaisseurs les confondent d'ailleurs souvent avec la pierre de jade, cependant, une caractéristique de la pierre lumineuse, est qu'elle brille dans le noir sans l'aide d'aucune lumière. Ce genre de fluorite est si rare que les géologues occidentaux ne reconnaissent pas son existence. Les Chinois ne découvrirent d'ailleurs cette pierre précieuse qu'en 1982 dans une mine de tungstène, dans le Guangdong.

Dans les légendes chinoises, le contact avec ces perles lumineuses apporterait fortune et prospérité.

La plus grande perle lumineuse du monde coûte 250 millions d'euros

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