Publié le 8 Juin 2006

Il y a celles qui détendent, celles qui stimulent et celles qui favorisent la réflexion.

 

Chaque couleur a son pouvoir. Chacune produit un effet conditionnant à la fois notre état psychique et notre condition physique. C'est l'objet de la chromothérapie, une discipline qui fait de plus en plus d'adeptes ces dernières années. Essayez de dormir dans une chambre à coucher peinte en rouge et constatez l'état dans lequel vous allez vous réveiller. Observez les réactions de vos invités qui, chez vous, pénètrent dans un vestibule peint en noir. Ils seront forcément très mal à l'aise ! On distingue différentes gammes de couleurs susceptibles d'agir sur vos émotions comme sur votre corps de façon favorable, autrement dit capables de vous apporter forme, sérénité et tranquillité.

 

Les relaxantes
Le bleu et ses différentes déclinaisons chromatiques privilégient le calme et la contemplation dans le cadre d'une chambre à coucher pour évacuer le stress et les tensions générées pendant la journée.

 

Les tempérantes
Le vert et ses différentes teintes apportent la fraîcheur. Cette une couleur de transition, idéale entre deux espaces différents. Par exemple, On peut utiliser du vert pour peindre les murs d'un couloir entre le salon et les chambres à coucher.

 

Les ressourçantes
La gamme des beiges, source de confort, contribue à votre bien-être en invitant à la détente et à la relaxation. On l'emploie pour les murs d'un salon afin de privilégier le plaisir et la convivialité, le partage et la communication.

 

Stimulantes ou décontractantes

 

Les tranquillisantes
Le vert pastel et le bleu pastel exercent sur le corps un effet apaisant. Ce sont des couleurs idéales pour une chambre d'enfant. Elles vont lui garantir repos, calme et sérénité.

 

Les décontractantes
Les couleurs saumon ou orangée sont des teintes rassurantes qui mettent immédiatement en confiance. On les utilise ainsi volontiers pour les cuisines ou les entrées. Elles aident le corps à se décontracter et... mettent en appétit. Vous noterez le nombre croissant d'établissements de restauration qui choisissent ces tons-là pour séduire leur clientèle.

 

Les stimulantes
Le rose, l'orange pastel, ou encore les déclinaisons de la couleur abricot engendrent la joie de vivre et mettent la plupart d'entre nous de bonne humeur. On peut les utiliser pour une salle de bain et pour les lieux de réunion traditionnels de la famille (salle à manger par exemple). L'enthousiasme est presque garanti pour toute la journée !

 

Les couleurs sont partout, elles influencent non seulement notre humeur et nos comportements mais aussi notre personnalité. Le rouge évoque par exemple la passion et la prise de risque, le marron la crédibilité et la stabilité, le jaune le dynamisme et la joie de vivre, etc.

 

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Publié le 6 Juin 2006

L'expérience, ce n'est pas ce qui arrive à quelqu'un, c'est ce que quelqu'un fait avec ce qui lui arrive.


[ Aldous Huxley ]
Extrait de Le meilleur des mondes

 

 

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Publié le 4 Juin 2006

Un phénomène appelé le dico Xinhua

 

 

 

Un dictionnaire de moins de 700 000 caractères qui a connu 200 réimpressions en un demi-siècle et a été vendu à 400 millions d'exemplaires. Toute personne capable de lire en Chine en possède un.

Un trésor de connaissances en miniature, le symbole du savoir pour plusieurs générations de Chinois lettrés

Le dictionnaire Xinhua fut le premier dictionnaire à voir le jour après la fondation de la RPC , ce fut aussi le premier à connaître une large diffusion dans la population.

Un dicton chinois affirme "sans dictionnaire pas de culture" et de fait toute langue de culture arrivée à maturité ne peut se passer de deux livres: le premier est un dictionnaire philologique en plusieurs volumes et le second est un dictionnaire de la langue quotidienne à la portée des jeunes et des moins jeunes. Le premier dictionnaire Xinhua a paru en 1953, à une époque de renouveau général pour le pays. Les fondateurs de la Chine nouvelle attachaient une grande importance à la parution de l'ouvrage qui devait à la fois contribuer à standardiser le langage et à éradiquer l'analphabétisme. A ce titre, c'était un facteur important dans la construction d'une nouvelle civilisation en Chine.

Dès le départ ce modeste ouvrage était porteur d'une grande vision civilisatrice: il s'agissait de mettre l'écrit et par là la culture elle-même à la portée du plus grand nombre. C'est un petit dictionnaire, mais il représente le labeur de très grands spécialistes et c'est ce qui a fait sa force pendant le demi-siècle écoulé.

"On a toujours pensé que ce dictionnaire était important pour la diffusion du savoir et que ça valait la peine de se donner du mal pour le rédiger le mieux possible. Si nous avons pu faire quelque chose pour élever le niveau de culture des Chinois, et bien c'est la seule récompense que nous attendons." Un demi-siècle plus tard, au vu de l'objectif poursuivi par Wei Jiangong et ses prestigieux collègues et de l'impact formidable qu'a eu sur les masses leur dictionnaire, on ne peut s'empêcher d'être profondément ému.

Grâce à la contribution de ces érudits, le dictionnaire Xinhua recèle dans ses colonnes une mine de culture, de sagesse et d'idéal, ce qui a fait de lui le symbole de la culture pour tous les intellectuels de la Chine moderne. Qu'un ouvrage de la taille du dictionnaire Xinhua ait pu se maintenir pendant cinquante ans, voilà qui aurait été impensable sans le soutien enthousiaste de grands lettrés et savants du langage. "Aujourd'hui, il nous faut encourager les ouvrages du type du dictionnaire Xinhua, petits mais riches, encourager les grands intellectuels à se tourner vers le grand public, encourager la diffusion des connaissances." C'est ainsi que le vice-président du comité permanent de l'AP Xu Jialu commente le cinquantième anniversaire de la parution du dictionnaire Xinhua.

Un dictionnaire pour les masses

Le témoignage d'une lectrice est particulièrement remarquable.

Cette femme a passé toute sa vie dans un coin reculé de la province du Guizhou. En deuxième année primaire, elle a fait connaissance avec le dictionnaire Xinhua chez un camarade de classe plus fortuné. Elle eut tout de suite l'impression qu'il s'agissait d'un livre extraordinaire. Pour pouvoir l'examiner à son aise, elle offrit à son condisciple sept volants faits de sa propre main et emporta le dictionnaire chez elle, où elle le potassa pendant sept nuits consécutives. Son père, qui n'avait fait que l'école primaire, passa pratiquement sept nuits blanches à recopier les plus de 600 pages de l'ouvrage à la lumière d'une lampe à pétrole afin que sa petite fille puisse elle aussi posséder un "dictionnaire Xinhua".

Cette histoire véridique est un cadeau pour le cinquantenaire de la parution du dictionnaire Xinhua. Elle explique aussi son succès persistant. Pendant un demi-siècle, ce condensé des connaissances de grands savants a servi de maître à d'innombrables Chinois. Dans les années cinquante du siècle dernier, il a aidé des millions de paysans et d'ouvriers à sortir de l'analphabétisme. Durant la décennie suivante, il a aidé au renouveau de la culture dans un pays plongé dans les ténèbres de l'ignorance. Dans les années 70, on l'offrait comme cadeau aux étrangers. Dans les années 80 il est devenu le compagnon des élèves du primaire dans leur rude ascension des sommets du savoir. Sa contribution à la diffusion des connaissances et de la civilisation et à la propagation de la langue chinoise standard a été immense et sur ce plan, parmi les ouvrages parus pendant le demi-siècle écoulé en Chine, aucun n'arrive à sa hauteur.

La civilisation est la force d'un peuple et la langue est l'incarnation de cette civilisation. Le dictionnaire est l'ouvrage par excellence qui permet de diffuser la civilisation. Comme l'a très bien dit Cao Xianzhuo , président de l'Association chinoise des dictionnaires: " Dans l'histoire des dictionnaires contemporains, le dictionnaire Xinhua constitue un jalon très important: avant lui, il n'existait pas de dictionnaire de référence indiscutable dans le domaine de la langue chinoise moderne. Après lui, tous les ouvrages de ce type n'ont été que des améliorations du modèle."

Un dictionnaire pour notre temps rigoureux et au service des masses

En Chine, il y a peu de livres qui ont connu l'évolution du dictionnaire Xinhua. En cinquante ans, à travers tous les changements, l'ouvrage n'a cessé de se renouveler, restant ainsi constamment en phase avec ses utilisateurs.

"Le dictionnaire Xinhua a été fait pour permettre au peuple de s'initier au savoir, pour jeter les bases de l'instruction. C'est là la clef de sa vitalité et de sa popularité." C'est ainsi qu'explique le vice-ministre chinois de l'éducation Wang Zhan le miracle accompli par le dictionnaire Xinhua.

Le tirage du dictionnaire Xinhua est le plus élevé du monde. En même temps, c'est le dictionnaire qui a connu le plus de remaniements et de corrections en Chine: dix en tout, qui reflètent l'évolution de la société chinoise. Chaque refonte s'accompagne d'un choix des termes plus minutieux, d'une présentation plus moderne et d'un esprit plus fidèle aux temps modernes.

Répondre à la demande des lecteurs, suivre de près la transformation de la société, tels sont les deux principes fondamentaux auxquels se sont attachés indéfectiblement les rédacteurs du dictionnaire Xinhua. Le résultat est un ouvrage toujours jeune, une sorte de printemps éternel de l'édition.

Pour mener à bien la compilation de ce dictionnaire, les rédacteurs ont établi des fichiers contenant des millions de mots ainsi que plusieurs milliers de banques de données linguistiques. La Maison d'Edition du Commerce a ainsi réussi à donner le jour à un ouvrage sans fautes, ce qui lui a valu d'obtenir le premier prix et le prix spécial des dictionnaires chinois.

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Publié le 2 Juin 2006

" Le sage se demande à lui-même la cause des ses fautes,

 l'insensé la demande aux autres."

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Publié le 1 Juin 2006

 

La commission préparatoire pour l'association de recherche sur les arts martiaux Henan Jiaozuo Taiji a indiqué qu'elle poserait sa candidature à l'Organisation éducationnelle, scientifique et culturelle des Nations-Unies (UNESCO) pour la reconnaissance en tant que patrimoine culturel mondial du le Taiji, également connu sous le nom de Taichi en Occident

 

La candidature rentre dans la catégorie du patrimoine non-matériel. A présent, le travail de préparation préliminaire a été achevé.

 

Le Taiji, l'essence des arts martiaux traditionnels chinois, a été développé par Chen Wanting, un habitant du village de Chenjiagou, dans le comté de Wen, ville de Jiaozuo, province du Henan au cours de la dernière dynastie des Ming (1368-1644) et du début de la dynastie des Qing (1616-1911).

 

Avec une histoire de plus de 300 ans, le Taiji n'est pas seulement un exercice physique, mais il place aussi une grande importance sur le raffinement culturel et intellectuel. Il reste proche des principes de base du Yi Jing (le livre des changements) et du Daode Jing (Le livre de la Voie et de la Vertu ), deux piliers du système de croyance chinois traditionnel.

 

Depuis les années 1980, le Taijiquan (Taichichuan en occident) est devenu un centre d'intérêt mondial et a été cité comme centre d'intérêt touristique par l'administration nationale du tourisme en Chine. La réunion internationale annuelle du Taijiquan s'est tenue à Chenjiagou, située à Jiaozuo, dans la province du Henan de nombreuses fois depuis 1992.

 

Chaque année, la réunion attire des fanatiques du Taijiquan en provenance de plus de 60 pays et régions, incluant les Etats-Unis, l'Allemagne, la Corée du Sud et la Suède. A présent, il y a près de 100 millions d'élèves de Taijiquan à travers le monde.

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Publié le 31 Mai 2006

«Le plus grand explorateur de cette terre

ne fait pas d’aussi grand voyage

que celui qui descend au fond de son cœur.»

Julien Green

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Publié le 29 Mai 2006

     1. La tête légère et l'esprit éveillé :

 

Relaxer complètement le corps. Maintenir la tête droite sans raideur ni rigidité, comme suspendue par un fil. Relâcher les muscles du visage et coller la langue au palais. Garder le cou détendu, celui-ci doit être librement mobile et prêt à tourner dans toutes les directions ; c'est par le cou que le chi circule jusqu'à la tête. Faire le vide des pensées afin d'élever son esprit. Concentration et conscience dans chaque mouvement. 

 

      2.  Fondre la poitrine et garder le dos tonique :

Rentrer légèrement la poitrine pour que le chi puisse descendre au champ de Cinabre ou Tantien inférieur. Le sens de fondre la poitrine vers l'intérieur est d'empêcher l'air de monter vers le haut du corps en bombant le thorax ; cette montée de l'air vers le haut entraînerait une lourdeur et un étouffement, aussi la partie supérieure du corps deviendrait plus lourde que la partie inférieure et provoquerait une instabilité et un déracinement. Garder le dos tonique mais non rigide ; La colonne vertébrale sert de support et de lieu de passage du chi, ainsi elle canalise librement l'énergie vers les différents membres.

     3.   La taille : centre du mouvement :

Relaxer les reins, la région lombaire étant le centre de commandement du mouvement et le centre de contrôle de l'énergie qui vient des pieds comme racines, passe par les jambes et s'épanouit dans les mains et les doigts. La taille est comme le moyeu d'une roue en mouvement, tout est pivoté par les reins ; on dit que les sources de la vie et de l'esprit résident entre les reins, dans le champ de Cinabre.

    4. Le vide et le plein :

Bien distinguer l'alternance du vide et du plein. Dans le taiji, chaque attitude a un côté vide et un côté plein selon le principe du yin et du yang. Lorsque le poids du corps se porte sur la jambe droite, celle-ci devient pleine (yang) et en même temps la jambe gauche devient vide (yin). Le poids du corps ne se porte jamais sur les deux jambes en même temps, excepté à l'ouverture et la fermeture du taiji. Quand votre centre de gravité se porte sur une jambe, vous pouvez être souple, rapide et fluide, au contraire, avec le poids également réparti sur les deux jambes, vous devenez doublement lourd et stagnant. Pour éviter l'erreur de la double lourdeur, on doit connaître et bien maîtriser l'alternance du yin et du yang dans chaque mouvements.

    5. Lâcher les épaules et les coudes :

Il est important de relâcher les épaules, si l'on hausse les épaules, l'air monte vers le haut, ce qui pourrait causer un malaise et une sérieuse entrave au déroulement des mouvements. Laisser descendre les coudes. Si les coudes sont suspendus, les épaules seront tendues et le chi remontera avec elles. Le but est de garder le souffle vers le bas. Ce relâchement ne signifie pas flottement, mais se manifeste dans la détente et il naît d'une intention de s'installer dans le bassin.

    6. L'intention et non l'effort :

On utilise l'intention (yi) ou les idées et non la force. Là où l'idée arrive, le chi arrive. Les mouvements sont souples et sans violence. La pratique du taiji demande une relaxation totale du corps et l'abstention du moindre effort inutile et maladroit. Ceci étant fait, l'énergie est retenue entre les os et les veines, ce qui permet de maîtriser facilement le corps, les mouvements deviennent alors légers et sans contrainte et le corps évolue d'une manière souple et flexible, ainsi nous serons capable de résister aux attaques de l'adversaire.
Le corps humain est constitué d'artères et de veines, comme les rivières et les fleuves pour la terre. L'eau coule librement lorsque ces rivières ne sont pas obstruées, de même le chi circule sans entrave lorsque les artères et les veines ne sont pas bloquées. Dans la théorie du taiji, on dit : Etre d'une souplesse extrême, c'est être d'une dureté extrême.

    7. L'union de l'esprit et du corps :

Chaque mouvement doit être réalisé avec une sérieuse attention. L'esprit joue un rôle essentiel dans l'exercice du taiji, il est le commandant et le corps le missionnaire. Si l'esprit est parfaitement concentré, les gestes du corps s'effectuent avec grâce et facilité et la posture ne dépassera pas le cadre du vide et du plein. L'intention guide et anime le corps tout entier. Quand l'esprit conduit le mouvement, c'est être entièrement présent.

    8. Simultanéité et harmonie des mouvements :

Se suivre de haut en bas. Lorsqu'une partie du corps se meut, toutes les autres parties bougent. Si une partie s'arrête, les autres font de même. Le corps est un tout dont les éléments sont harmonieusement en relation. Les pieds sont les racines, l'énergie dont le contrôle réside dans les reins, passe par les jambes et s'épanouit dans les mains et les doigts. Dans les mouvements, tous les membres doivent être reliés les uns aux autres, et se mouvoir simultanément. Les bras et les jambes alternent et correspondent ; La main levée s'abaisse pendant que l'autre s'élève.
Garder toujours la même vitesse ; Quelques gestes se prêtent à une allure plus rapide, évitez la tentation d'accélérer.

    9. La continuité :


Les mouvements doivent être enchaînés sans rupture. Le geste commence et se poursuit du début à la fin de l'enchaînement sans interruption. De plus, aucun geste n'est poussé à son point extrême. Ne pas allonger les pas ou les bras aussi loin que possible, de sorte que la fin d'un mouvement amorce le commencement du suivant. Les mouvements des bras sont généralement de forme spirale, commençant ou achevant un cercle, demi-cercle ou courbe, qui rappelle le symbole du yin et yang.
Accomplir les mouvements comme on tire un fil de soie. Ils s'exprimeront sans rupture, sans discontinuité. Le corps se meut comme une rivière, sans cesse parcourue par le flot. 

    10. Le calme dans le mouvement :

Demeurer paisible dans le mouvement. Le cœur reste calme et vigilant, recueilli et concentré, rassemblé et éveillé comme un chat guettant une souris. Le corps demeure tranquille avec sérénité et confiance. Le souffle intérieur ou chi circule et s'exprime sans effort dans le mouvement spiral, stable et continu : C'est la méditation en mouvement.

 

 Calme comme une montagne 
Mouvant comme une rivière

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Publié le 27 Mai 2006

 

    Le gouvernement chinois dépensera 4,9  milliards de yuans (477 millions de d’euros) pour améliorer ses  services de planning familial dans les régions rurales. 

 

     Cette somme d'argent sera utilisée pour augmenter le nombre de centres de services du planning familial, particulièrement dans la région de l'ouest pauvre et reculée et réaliser une modernisation  technologique.

 

     L'argent sera alloué annuellement par le gouvernement central  d'ici 2010. 

 

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Publié le 26 Mai 2006

Si la position est bonne................ le reste suit.

Rions un peu :

 

Transcription d'une communication radio entre un navire de la US Navy et les autorités canadiennes au large des côtes de Newfoundland en octobre 1995.

Américains :
"Veuillez vous dérouter de 15 degrés Nord pour eviter une collision. A vous. "

Canadiens :
"Veuillez plutôt VOUS dérouter de 15 degrés sud pour éviter une collision. A vous."

Américains :
"Ici le capitaine d'un navire des forces navales américaines. Je répéte : Veuillez modifier VOTRE course. A vous."

Canadiens :
"Non, veuillez VOUS dérouter je vous prie. A vous. "

Américains :
"Ici c'est le porte avions USS LINCOLN !!! Le second navire en importance de la flotte navale des Etats Unis d'Amérique !!! Nous sommes accompagnés par trois destroyers, 3 croiseurs et un nombre important de navires d'escorte !!!
Je vous demande de dévier votre route de 15 degré Nord ou des mesures contraignantes vont être prises pour assurer la sécurité de notre navire !!! A vous...! "

Canadiens :
"Ici, c'est un phare. A vous. "

....et on me jure que cette histoire est authentique !

C'est comme le Tai ji, il suffit de touver la position juste et d'être bien enraciné

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Publié le 24 Mai 2006

Le Saint Bernard, chien apprécié des gourmets chinois, à 100 euros le kilo

 

La Chine cuisine à toutes les sauces le Saint-Bernard, une race de chien qu'elle a importée il y a une quinzaine d'années de Suisse et dont la viande y est vendue environ 100 euros (1.000 yuan) le kilo, selon le rapport "Cyclope" 2006, consacré aux marchés des matières premières.

 

"Le chien est cuisiné à toutes les sauces, dans la plupart des provinces de la Chine qui vient d'entrer, en janvier 2006, dans l'année du Chien", écrivent les auteurs de ce rapport.

 

"La viande favorite des restaurants de chien est le Saint-Bernard... renommé pour sa chair tendre, son engraissement rapide et ses portées nombreuses", notent les experts de Cyclope. "Les éleveurs de +rou gou+ (chiens de boucherie) vendent ces Saint-Bernard, souvent croisés, au prix de 1.000 yuan, soit environ 100 euros" le kilo.

 

"Selon un sondage effectué en 2001, 43% des Pékinois auraient mangé au moins une fois du chien", précisent les experts de Cyclope.

 

"Si les mentalités évoluent dans le sens d'une plus grande clémence vis-à-vis des chiens, le pays n'est pas encore prêt à interdire la consommation canine, comme à Hong Kong depuis 1950", estime Cyclope.

 

Cyclope signale que de leur côté, les Européens sont de plus en plus sensibles au bien-être des animaux d'élevage (temps de transport, mode d'abattage, poule pondeuse et veau de boucherie libérés des cages), Bruxelles préparant un nouveau plan d'action 2006-2010 pour la protection et le bien-être des animaux, qui vise à renforcer les normes minimales existantes.

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