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Publié le 7 Janvier 2011

 

Selon l'Associated Press, qui a recueilli des propos du célèbre réalisateur chinois, l'acteur américain Christian Bale (Batman, Prestige...) sera au casting du prochain long métrage de Zhang Yimou, "Nanjing Heroes", un film sur le Massacre de Nanjing en 1937.

Zhang Yimou peut sourire, il aura une star d'Hollywood dans son prochain film (Image: CNS)
Zhang Yimou peut sourire, il aura une star d'Hollywood dans son prochain film (Image: CNS)

 

Il s'agira d'une adaptation du livre de Yan Gelin, "Les 13 femmes de Nanjing", qui raconte comment treize prostituées de Nanjing ont oeuvré pour sauver un maximum de Chinois pendant le Massacre de Nanjing. Pour rappel, cet épisode méconnu de l'Histoire mondiale est une plaie ouverte dans le coeur de Chinois.

L'armée d'occupation japonaise aurait en quelques semaines tué 150 000 à 300 000 personnes, tout en commettant nombre d'exaction, en particulier des viols. Le film de Zhang Yimou (Le Sorgho Rouge, Vivre !, Hero...) d'un budget conséquent et devrait être tourné en deux langues : chinois mandarin et anglais.

Cette particularité s'explique par la forte présence d'Occidentaux à Nanjing pendant le Massacre de 1937, et la volonté du cinéaste de rendre son film accessible aux jeunes d'Amérique du Nord et d'Europe. Et c'est donc pour s'assurer un impact médiatique qu'il aurait donc débauché Christian Bale.

Il devrait interpréter un prête qui cachait des prostitués, et ainsi offrir au film une meilleure visible qu'aux autres nombreux long-métrages chinois sur le même thème. C'est tout du moins ce que croit Zhang Yimou dur comme fer : "Il existe des tas de films sur Nanjing, mais la plupart ne parlent qu’à nous (aux Chinois, ndlr). Beaucoup de jeunes occidentaux ne savent certainement rien de ce massacre. Peut-être qu’avec ce film, il pourrait y avoir entre 100 ou 200 millions de jeunes gens qui le verront, et alors ils apprendront ce qui s’est passé à Nanjing en 1937."

Le tournage commencera en janvier, et la sortie devrait avoir lieu en décembre 2011.

 

Source du texte: Associated Press, Premiere

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Publié le 5 Janvier 2011

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Publié le 3 Janvier 2011

  Le 25 décembre, la Banque centrale chinoise a annoncé qu'elle augmentait ses taux d'intérêt pour la seconde fois en deux mois. Le 26 décembre, cette mesure prenait effet avec une hausse du taux directeur pour les emprunts de 25 points de base pour arriver à 5,81%, et une hausse similaire pour le taux directeur sur les dépôts (2,75%).

Quelles conséquences en Europe pour la politique monétaire chinoise ? (Image: Radio86)
Quelles conséquences en Europe pour la politique monétaire chinoise ?
Cette mesure n'est pas une surprise pour les marchés financiers -ceux d'Asie ont d'ailleurs bien réagi et répond à une volonté de Pékin de freiner l'inflation, notamment en limitant la spéculation dans le secteur immobilier et en réduisant la masse monétaire du pays.

En octobre déjà, la Chine avait augmenté ses taux d'intérêt, une surprise à l'époque. Il faut souligner qu'en parallèle, Pékin a laissé le yuan s'apprécier de 2,5% depuis juin. Ces mesures devraient se poursuivre en 2011, plusieurs analystes prévoyant une hausse des taux directeurs de 100 points sur l'année.

Malgré ces actions, les indices de prix à la consommation avaient connu en novembre une hausse record de 5,1%, du jamais vu depuis deux ans et demi. Cette inflation est problématique pour le pouvoir central car elle concerne surtout l'immobilier et l'alimentaire, et brandit la menace d'une crise sociale dans un pays qui fait de la stabilité une priorité

Selon une étude de l'Académie des Sciences sociales de Pékin, 85% des foyers chinois ne peuvent devenir propriétaires actuellement, alors que la hausse des prix alimentaires est l'un des principaux sujets de conversation sur le net ou dans la rue.

Officiellement, les autorités se montrent confiantes, à l'image du Premier ministre Wen Jiabao, qui dimanche s'exprimait face à des auditeurs de la Radio nationale chinoise : "Je crois que nous pouvons maintenir les prix à un niveau raisonnable grâce à nos efforts. En tant que chef du gouvernement, j'en ai la responsabilité mais j'ai aussi confiance".

Pour certains experts, l'inflation en Chine est surtout la cause d'un afflux de liquidités incontrôlées depuis le plan de relance de 2008. Cette politique «accommodante» devrait prendre fin puisqu'en décembre, la Chine a annoncé un resserrement de sa politique monétaire. Les récentes hausses de taux d'intérêt n'en sont que les prémices...



Source du texte: Le Figaro, La Tribune, Boursier

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Publié le 2 Janvier 2011

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Publié le 1 Janvier 2011

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Publié le 31 Décembre 2010

Jusqu'au 15 janvier 2011, la Galerie Dix9 -19 rue des filles du Calvaire à Paris- accueille les travaux de l'artiste chinoise Cui Xiuwen. Petite présentation de cette artiste qui utilise la vidéo et la photographie et dont la condition de la femme en Chine est le fil rouge de son travail.

 

Une photo tirée de la superbe série Angel (Image: Galerie Dix9/Cui Xiuwen)
Une photo tirée de la superbe série Angel (Image: Galerie Dix9/Cui Xiuwen)
 
Cui Xiuwen est une jeune artiste chinoise en vogue. Née en 1971 à Harbin, dans la province nordique du Heilongjiang, elle est considérée comme l'un des fers de lance de la nouvelle génération de femmes artistes en Chine.

Comme pour beaucoup de créateurs de sa génération, ce sont les profonds changements de la Chine post-révolutionnaire qui l'inspirent, tout comme certaines des plus grandes oeuvres d'art de l'Histoire.

Dans la vidéo "Sanjie" par exemple, Cui Xiuwen revisite la Cène de Léonard de Vinci : elle crée une installation de treize écrans, un pour chaque apôtre plus un autre pour le Christ. Sur chacun d'eux, une seule personne interprète les différents protagonistes : une petite écolière qui reprend les attitudes de Jésus Christ et ses suiveurs...

Dans une autre vidéo, "Toot", Cui Xiuwen se met en scène momifiée avec du papier toilette. Celui-ci se désagrège au contact de l'eau, pour symboliser l'émancipation progressive de la femme chinoise.

"Ladies" est quant à elle la vidéo qui a provoqué une polémique -et fait connaître l'artiste- en Chine : l'action se déroule dans les toilettes pour femmes d'un night club en Chine. Cui Xiuwen y a installé une caméra cachée, et on peut y voire différentes femmes, dont des escort girls, se recoiffer, remaquiller ou replacer le soutien-gorge.

Cette créativité se retrouve également dans les travaux photographiques de l'artiste, avec notamment sa série "Angel" qui met en scène une femme enceinte habillée d'une robe d'un blanc immaculé. Alors que sa situation pourrait laisser penser qu'il s'agit là d'une femme épanouie, les expressions de son visage sous-entendent qu'elle souffre.

C'est avec cette subtilité que Cui Xiuwen exprime sa vision de la nouvelle Chine, et de la place qu'elle laisse pour le moment à la femme, visiblement pas encore totalement libérée...

 

Auteur: Nicolas Jucha

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Publié le 29 Décembre 2010

Dans un contexte d’inflation et de renforcement des inégalités, les Chinois sont de moins en moins satisfaits de leurs conditions de vie et remettent en cause la politique menée par le gouvernement, selon une étude de l’Académie des Sciences Sociales de Chine publiée en Décembre.
Dans une foire à l'emploi en Chine

Publié chaque année par la prestigieuse Académie des Sciences sociales de Chine, le « Livre Bleu de la Société Chinoise » n’est pas, dans son édition 2011, un cadeau de Noël agréable pour les dirigeants chinois.

Comme toujours, il tente d’analyser les tendances sociales du pays, ainsi que d’anticiper les principaux problèmes auxquels la Chine devra faire face. Cette année, la politique menée par le gouvernement fait face à de plus en plus de défiance.

Selon l’ASSC, le « niveau de satisfaction » des résidents a baissé cette année dans les petites villes et les campagnes, avec respectivement 3,37 et 3,42 sur un maximum de 5.

L’année dernière, les habitants des petites villes avaient un niveau de satisfaction de 3,59, contre 3,55 chez les ruraux.

Dans les grandes villes, ce niveau n’atteint que 3,41, mais le rapport ne précise pas si cela représente un changement.

Selon les chercheur, la satisfaction générale des Chinois vis-à-vis du travail, de la sécurité sociale ou du temps libre disponible sont à leur plus bas niveau depuis 2006.

Par ailleurs, chez les habitants des campagnes, les espoirs de connaître une amélioration des conditions de vie, qui étaient déjà inférieurs à ceux des habitants des villes, ont encore baissé cette année.

Les citadins expriment une crainte de plus en plus grande quant aux conditions dans lesquelles ils passeront leur retraite, tandis que pour les habitants des campagnes, c’est l’amélioration globale des conditions de vie, le travail, et en particulier le fait de trouver un emploi hors de l’agriculture qui sont les principales préoccupations.

Le rapport met l’accent sur la nécessité de mieux contrôler l’urbanisation rapide de la Chine, dont l’impact sur l’agriculture est préoccupant.

Les inégalités se creusent

Une note positive, cependant : sur les neuf premiers mois de l’année, les revenus des ruraux ont augmenté un peu plus vite que ceux des urbains (9,7% contre 7,5%).

Mais malgré cela, les inégalités restent béantes. Selon le sociologue Chen Guangjin, qui a collaboré aux recherches, le coefficient Gini est passé de 0,47 en 2007 à 0,5 en 2010. Selon ce coefficient, plus le chiffre attribué s’approche de 1, plus les inégalités de distribution de revenus au sein d’un pays sont fortes.

Le livre révèle que la politique économique du gouvernement a perdu la confiance d’un grand nombre de Chinois, en partie déçus par l’inefficacité de celui-ci à compenser les effets de l’inflation.

C’est également la conclusion d’un sondage effectué par la People’s Bank of China sur les prix à la consommation. 73,9% des personnes interrogées ont estimé que ces prix étaient « hauts et difficilement acceptables ».

Pas étonnant : alors que les prix de l’immobilier ont explosé, atteignant des niveaux intolérables dans les grandes villes, le prix de plusieurs biens de consommation courante, notamment les légumes.

Un défi de taille pour le gouvernement

En novembre, le gouvernement avait été contraint de prendre des mesures d’urgence : dans 36 villes, le prix moyen d’une vingtaine de légumes avait augmenté de 62,4% en un an !

Et si l’intervention de l’Etat a permis aux Chinois de recommencer à remplir leur panier au marché, les légumes n’étaient malheureusement pas les seuls à avoir vu leur prix augmenter : le prix des vêtements a souffert de la hausse de celui du coton, tandis que les conducteurs ont vu leur budget essence exploser.

Le défi est donc de taille pour les autorités, qui vont devoir s’efforcer de redonner à leur action une légitimité.

Le gouvernement chinois a d’ailleurs annoncé par la voix de Zhang Ping, directeur de la Commission d'Etat pour la Réforme et le Développement, qu’il accorderait en 2011 une importance encore plus grande à l'amélioration des conditions de vie de la population, rapporte le Quotidien du Peuple.

Au programme, développement des logements sociaux, surveillance renforcée du marché immobilier, création d’emplois et stabilisation des prix à la consommation.

Reste à voir, comme toujours, à quel point ces belles paroles seront suivies d’effets. Car en 2010, la Chine est encore bien loin d’être la société “harmonieuse” vantée depuis le début de son mandat par le président Hu Jintao

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Publié le 27 Décembre 2010

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Publié le 25 Décembre 2010

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Publié le 23 Décembre 2010

 

RTE JOURNAL 20 DÉCEMBRE 2010

Chine : la carte des maisons du sang

Écœuré par la multiplication des expropriations d'agriculteurs et les méthodes d'expulsion employées par les autorités, un blogueur chinois a décidé d'agir. Il a créé une carte Google participative intitulée "la carte des maisons de sang" pour recenser les cas d'évictions violentes et éviter qu'elles soient passées sous silence. Sur cette carte, on peut voir très précisément où a eu lieu l'incident, ce qui, selon le blogueur, devrait pousser certaines personnes à ne pas acheter de logements construits sur cette zone. Le site permet également de savoir précisément ce qui s'est passé. Une flamme indique une immolation en joignant différents symboles : le feu, un volcan, une manifestation, un lit, un décès, etc. En réaction à cette carte subversive, la machine propagandiste du régime chinois a fonctionné de manière paradoxale. Certain blogs et articles qui évoquaient cette "carte des maisons du sang" ont été censurés, ainsi que la recherche Google en chinois, qui mène désormais à une page blanche. Pourtant, l'agence de presse officielle Xinhua y avait consacré un long article, toujours accessible, avant la mise en place de la censure. Le blogueur engagé en faveur des paysans expropriés a exceptionnellement accepté de répondre aux questions d'ARTE Journal. Souhaitant rester anonyme, il a choisi le pseudo"Bloody Map". Une interview réalisée par Benoit Guivellic pour ARTE Journal et "Aujourd'hui la Chine".


Benoit Guivellic pour ARTE Journal : quelle était votre intention en créant cette carte ? 
Bloody Map : "Mon but est de collecter et de lister les cas d'expulsions violentes qui ont ou auront bientôt disparu du champ de vision du public. Il y a des évictions forcées qui se déroulent en ce moment même et qui nécessitent une plus grande couverture médiatique. Pour autant, les répercussions de la "carte des maisons de sang" sont limitées. Les gens ne peuvent pas attendre d'une initiative comme celle-ci qu'elle suscite suffisamment d'attention pour mettre fin aux expulsions forcées actuelles. Le but de cette carte est plutôt de présenter des preuves, pour permettre aux consommateurs de prendre leurs décisions". 

ARTE Journal : avec cette carte, vous appelez la population à agir... 
Bloody Map : "Il y a 30 ans, la plupart des Chinois pensaient que les intérêts de l'État étaient supérieurs aux intérêts personnels. Mais aujourd'hui, même si la phrase "les biens personnels sont intouchables" est inscrite dans la constitution chinoise, je ne crois pas qu'elle soit inscrite dans le cœur des Chinois. Par exemple, l'immolation de Yihuang, en septembre, a été très suivie par le public. Les médias ont critiqué les responsables du gouvernement local, qui ont finalement été obligés de démissionner. 
Mais l'avis des habitants locaux était plus nuancé, car ils trouvaient que cet incident empêchait le développement de la région. Alors il faut se poser la question suivante : si il y avait quelqu'un qui refusait de se faire expulser et que ce refus mettait en cause mon intérêt personnel, est ce que je suis tout de même de son côté? Est-ce que je le soutiendrais ? "

ARTE Journal : quelles réactions votre carte a-t-elle provoqué ? 
Bloody Map : "La carte des maisons de sang a été publiée le 8 octobre dernier. Le 20 du même mois, l'agence Chine Nouvelle y a consacré un article et une semaine plus tard, une dizaine de médias chinois en avaient parlé. Aujourd'hui, si on tape sur Google "La carte des maisons de sang", on obtient 1 640 000 résultats. Selon les statistique de Baidu, le Google chinois, les Chinois s'intéressent plus à cette carte qu'à Li Yuchun (une gagnante de d'un jeu de télé-réalité local, ndlr). 

ARTE Journal : pourquoi? 
Bloody Map : "Je pense que c'est parce qu'il y a beaucoup de Chinois, comme moi, qui ont envie de faire quelque chose pour changer la situation actuelle dans notre pays. Quand les gens regardent la carte, à première vue, ils sont dans un état de colère, de tristesse ou de choc. Mais après la colère, la carte permet de réfléchir sur le fond du problème". 

ARTE Journal : pensez vous que votre carte peut faire évoluer la situation? 
Bloody Map : "Ce phénomène d'expropriations violentes est un problème récurrent et compliqué. Libérer sa colère est simple, mais cela ne sert à rien pour changer les choses. Nous sommes habitués à nier notre propre responsabilité et à la rejeter sur les autres. Chacun pense qu'il est innocent. Sur le court terme ça marche, si on peut trouver des personnes à qui faire porter la responsabilité. Mais cela peut-il vraiment résoudre le problème ? Si grâce à cette carte, les consommateurs peuvent être amenés à refuser d'acheter les maisons du sang peut être que les sociétés immobilières pourront arrêter les travaux, que les législateurs pourront voter des lois et que le gouvernement central pourra ré-évaluer sa politique. Je sais que c'est très compliqué, je ne suis pas quelqu'un de naïf. Mais je pense que ce n'est que grâce à la solidarité, si chacun prend sa part de responsabilité, que nous pourront atteindre notre objectif. C'est pourquoi il faut refuser d'oublier. Si un jour, les maisons entachées de sang ont leur musée, que les Chinois osent montrer à nos enfants le sang et les larmes qu'on a versé pour nos terres, alors la Chine sera un pays vraiment harmonieux et grand. Tout passe très vite, mais la "carte des maisons de sang" reste , elle a une vie constante et libre.En cas de besoin, allez jeter un coup d'œil, elle est toujours là. Elle est comme un stèle couverte d'herbes sauvages, mais elle est là". 
Les Chinois luttent encore et toujours contre les expropriations

En Chine, de plus en plus d’expropriés s’immolent par le feu pour faire valoir leurs droits. Reportage vidéo.

Beaucoup de Chinois, sous la menace d'évictions, n'hésitent pas à recourir à ces actions de plus en plus extrêmes pour exprimer leur refus d'indemnisations jugées trop faibles et des méthodes expéditives des autorités locales.

Ces dernières sont responsables de la propriété et de la gestion des terres dans le système communiste chinois, mais elles sont souvent accusées de collusion avec les promoteurs.

A la campagne et dans les villes, ces dernières années, les expropriations ont conduit à la multiplication de familles qui résistent et s'accrochent à leur maison.

Note : Nous postons pour l'instant nos vidéos sur Youtube. Elles ne sont, par conséquent, pas visibles de Chine continentale sans proxy ou sans vpn.


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