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Publié le 21 Décembre 2012

 

Un Chinois construit une arche de Noé pour faire face à la fin du monde
Les Mayas l'ont annoncé : le 21 décembre 2012, le monde sera détruit, englouti par les océans. On peut y croire ou pas, mais certains préfèrent de toute façon appliquer le principe de précaution pour s'assurer de survivre à la possible catastrophe. C'est ainsi qu'un Chinois du Xinjiang a décidé de construire sa proprearche de Noé, pour triompher des éléments déchaînés.

 

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L'arche de Lu Zhenhai
AFP Getty

 

Et Lu Zhenhai n'a pas lésiné sur les moyens : le Daily Mail rapporte qu'il n'a pas hésité à sacrifier toutes ses économies, soit un million de yuans (125 000 €) pour construire son embarcation. Une arche qui mesure 21,2 mètres de long et 15,5 mètres de large, dont la hauteur atteint 5,6 mètres et qui peut déplacer 140 tonnes d'eau. Suffisant, d'après M. Lu, pour le sauver de la malédiction maya. Mais probablement pas pour le préserver de la banqueroute, si, par malheur, le monde devait survivre au 21 décembre.

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Publié le 18 Décembre 2012


Nestlé fait le pari de la médecine traditionnelle chinoise
Par Marie-Josée Cougard | 29/11 | 07:00


Le suisse s'associe au chinois Chi-Med spécialisé dans les médicaments à base de plantes.

L'entité créée fabriquera des produits adaptés aux affections intestinales.

La médecine traditionnelle à base de plantes reste très utilisée en Chine. - Photo Qilai Shen/Bloomberg
La médecine traditionnelle à base de plantes reste très utilisée en Chine. - Photo Qilai Shen/Bloomberg

Nestlé, le numéro un mondial de l'alimentation, se lance dans la médecine traditionnelle chinoise. Le géant suisse vient de créer une coentreprise avec le groupe pharmaceutique chinois Chi-Med, coté mais contrôlé par le milliardaire hong-kongais Li Ka-Shing, et spécialisé dans les thérapies à base de plantes. Après des années de pertes, Chi-Med a réalisé un bénéfice net de 2,5 millions de dollars au premier semestre 2012 pour un chiffre d'affaires de 103 millions en progression de 25 %. Pour Nestlé, ce nouveau partenariat est un pas important sur la voie de l '«  alimentation médicale », qu'il juge stratégique pour son avenir. Dans cette optique, le groupe s'est déjà doté en février d'un Institut des sciences de la santé à Lausanne afin de «  développer des aliments qui empêcheront l'apparition de maladies ».

50.000 extraits de plantes

Le partenariat noué avec le chinois Chi-Med marque une étape de plus. Il donnera naissance à une nouvelle société baptisée « Nutrition Science Partners » (NSP), détenue à parité par les deux groupes. NSP a vocation à développer et commercialiser des nouveaux produits nutritionnels à base de plantes soignant les affections intestinales. Les maladies inflammatoires de l'intestin représentent un marché «  de 5 à 6 milliards de dollars dans le monde », a indiqué Christian Hogg, directeur général de Chi-Med.

Dans un deuxième temps et en fonction de la réponse du marché, Nutrition Science Partners pourrait élaborer des produits destinés aux personnes souffrant de troubles métaboliques et neurologiques.

Nestlé apporte un financement correspondant à sa participation de 50 % au capital de NSP tandis que Chi-Med fournit les droits d'accès exclusifs à sa banque de données botaniques, ainsi qu'à sa plate-forme de recherche. Au fil des ans, le groupe chinois a accumulé plus de 50.000 extraits provenant de 1.200 plantes reconnues par la médecine traditionnelle chinoise. L'accord liant les deux entreprises inclut également la poursuite des essais cliniques réalisés pour un nouveau traitement oral de l'inflammation des intestins (maladie de Crohn et colite ulcéreuse).

Luis Cantarell, directeur de Nestlé Health Science, s'est félicité de pouvoir désormais « développer et commercialiser une nutrition réellement innovante et validée sur le plan scientifique à base de plantes pour des soins adaptés aux personnes souffrant d'affections gastro-intestinales ».

Pour Christian Hogg, le partenariat noué avec le géant de Vevey va permettre à Chi-Med, au travers de sa filiale Hutchison Pharma, de lancer «  de nouveaux produits médicaux et nutritionnels au bénéfice des patients et des actionnaires ». Des ambitions que le groupe chinois servira en puisant dans la science ancienne de la botanique toujours très présente dans l'empire du Milieu.

En Chine, les produits à base de plantes totalisent de 30 à 40 % de toutes les ventes pharmaceutiques. Chi-Med a consacré une dizaine d'années à répertorier les produits de la médecine traditionnelle chinoise qui explore les vertus de 120.000 végétaux.

 

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Publié le 15 Décembre 2012

07/12/2012 | ALC.

Le projet s'annonce comme le plus grand "déplacement de montagnes" de l'histoirede Chine : l'une des plus grandes entreprises de construction du pays va dépenser près de trois milliards d'euros pour aplanir sept cents montagnes de la région de Lanzhou, dans la province du Gansu, afin de permettre la construction d'une nouvelle métropole dans le désert.

Selon le Guardian, la première phase d'aplanissement de montagnes a débuté en octobre dernier, et devrait conduire à l'émergence d'une zone de 2600 hectares. A terme, la Lanzhou New Area devrait s'étendre sur 130000 hectares, à 80 kilomètres de Lanzhou.

A l'origine de ce projet, on retrouve le groupe privé China Pacific Construction, avec à sa tête le professeur devenu magnat de l'immobilier Yan Jiehe, que l'on compare parfois à Donald Trump. Mais son idée est loin de faire l'unanimité : Lanzhou détient déjà le titre peu enviable de ville la plus polluée de Chine. Et la construction d'une cité en plein désert ne devrait pas améliorer la situation.

Le risque financier est, lui aussi, important : les investisseurs ont déjà versé plus de 8 milliards d'euros dans l'aventure, alors que la rentabilité de l'affaire est loin d'être assurée, et que le marché immobilier chinois est des plus instables. Des critiques balayées par le promoteur : "l'environnement à Lanzhou est déjà très mauvais, avec ses montagnes désertiques et son manque d'eau", a ainsi déclaré une porte-parole du groupe China Pacific Construction. "Notre méthode de développement, soucieuse de protéger l'environnement, permettra d'acheminer l'eau jusqu'à cette zone, d'accomplir une reforestation, et d'améliorer la situation".


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Publié le 9 Décembre 2012

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Publié le 6 Décembre 2012

14/11/2012 | Christele Jaime et Wu Hannuo (Aujourd'hui la Chine) et Aviva Fried.

Les inégalités entre les villes et les campagnes n'ont cessé de s'accroître, et la pauvreté semble bien installée dans les villages chinois. Un casse-tête pour la nouvelle équipe dirigeante. Reportage vidéo.

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Publié le 3 Décembre 2012

 

Des engins de démolition rasent la «maison clou» de Luo Boagen, située au milieu d'une autroute à Wenling, dans la province du Zhejiang, en Chine, le 1er décembre 2012. REUTERS/CHINA DAILY

WEB - Le couple de sexagénaires chinois a finalement accepté de quitter sa demeure, après une nouvelle offre des autorités...

Luo Baogen et sa femme ont finalement accepté de quitter leur maison. La photo de la maison de ce couple de sexagénaires chinois a fait le tour du Web le mois dernier, du fait de son implantation originale, au milieu d’une route à deux fois deux voies. Samedi, elle a été rasée.

Luo Baogen, éleveur de canards de 67 ans, avait été le seul propriétaire de tout son quartier à avoir résisté et refusé de vendre aux responsables locaux de sa ville de Wenling, dans la province de Zhejiang (est de la Chine), pour faire place à une nouvelle autoroute. Le couple luttait depuis quatre ans pour obtenir une compensation d'expropriation supérieure au montant de 220.000 yuans (25.800 euros) offert par les autorités locales.

Lassé de la médiatisation

Il avait refusé plusieurs propositions et offres de rachat, et sa maison s’était donc retrouvée seule au milieu de la route. Cette «maison clou»-ainsi que sont appelées en Chine les demeures habitées par des résistants aux expropriations, qui se retrouvent perdues dans des immenses chantiers de construction- était alors devenue le nouveau symbole de la résistance des petits propriétaires face aux expropriations.

Vendredi, Luo Baogen a finalement annoncé qu'il acceptait une nouvelle offre des autorités. Cette compensation s’élève à 260.000 yuans (32.400 euros). Une somme un peu plus élevée que l’offre précédente, mais toujours inférieure à celle du crédit de 600.000 yuans (72.900 euros)  que le couple a payé pour la demeure. Le chef du village de Xiayangzhang, Chen Xuecai, a expliqué à l’Associated Press que le couple était lassé de la médiatisation de l’affaire et avait donc décidé de vendre.

>> Regardez la vidéo de la démolition de la maison de Luo Boagen:

 Bérénice Dubuc
Des engins de démolition rasent la «maison clou» de Luo Boagen, située au milieu d'une autroute à Wenling, dans la province du Zhejiang, en Chine, le 1er décembre 2012.

 

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Publié le 2 Décembre 2012

2012-11-16 13:51

 

 

Au cours du 18e Congrès national, le contrôle sur l'information a atteint le plus haut sommet de tous les temps. Cela comprenait l'interdiction des livres politiques exposant les dirigeants corrompus et les politiques défaillantes du Parti communiste.

Mais, bien avant le Congrès, cette librairie de Hong Kong faisait déjà de beaux chiffres d'affaire avec la vente des livres considérés "illégaux" en Chine continentale. Le 18e Congrès du Parti s'est avéré encore meilleur pour leurs affaires, en particulier des livres traitant un sujet que le régime chinois essaie d'étouffer.

[Paul Tang, Propriétaire, Café et livres du Peuple, Hong Kong] : 
« Seuls les livres sur le 18e Congrès du Parti ont représenté 30% de l'ensemble des ventes, ce qui est beaucoup. Des livres sur Wang Lijun et Bo Xilai ont aussi représenté une certaine portion, ce qui est également très bien. »

Environ 95% des clients de cette librairie sont des touristes venant de Chine continentale. Le propriétaire dit que certains d'entre eux ne sont pas des touristes ordinaires, mais des fonctionnaires qui tentent d'apprendre des informations qu'ils ne peuvent pas avoir chez eux.

[Paul Tang, Propriétaire, Café et livres du Peuple, Hong Kong] : 
« Des gens sont venus ici, mais ne parlaient pas. Ils avaient des assistants pour payer et prendre les livres pour eux. Nous sentons que ces gens n'étaient pas des clients ordinaires. Donc, nous sommes toujours très prudents avec eux. Certaines personnes, plus ouvertes, voudraient nous parler plus. Certains nous ont confié qu'ils allaient ramener les livres chez eux comme une collection de ressource. »

Lorsque nous lui avons demandé quels étaient les best-sellers, le propriétaire a répondu que plus un livré est étiqueté "illégal", mieux il est vendu.

Nouvelle NTD, Hong Kong

 

 

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Publié le 29 Novembre 2012

23/10/2012 | Aviva Fried et Christele Jaime (Aujourd'hui la Chine).

Cela fait 20 ans que le Suisse Jean-Luc Fazan vit en Chine, et cinq ans qu'il s'est installé à Shangri-La, dans la province du Yunnan, dans le sud du pays. C'est là qu'il a créé une fondation pour aider la population locale. Reportage vidéo.

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Publié le 26 Novembre 2012

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Publié le 24 Novembre 2012

En Chine, certaines personnes résistent jusqu'au bout. Les habitants de cette maison n'ont pas voulu la vendre aux autorités et se retrouvent maintenant au beau milieu d'une route...

Photo : [IMAGES] En Chine, certaines personnes résistent jusqu'au bout. Les habitants de cette maison n'ont pas voulu la vendre aux autorités et se retrouvent maintenant au beau milieu d'une route... >> D'autres images à découvrir dans le «24 heures en images» par ici: http://bit.ly/T0XMKP

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