taichichuan-cotebasque

Publié le 3 Août 2012

28/07/2012 | Wu Hannuo (Aujourd'hui la Chine)Christele Jaime, et Aviva Fried.


Alors que les JO de Londres commencent, à Pékin, quatre ans après les jeux, la folie olympique est retombée. Les symboles grandioses, comme le grand stade, le Nid d'oiseau, se transforment peu à peu en coquilles vides. Reportage vidéo.

Avec :

 

Voir les commentaires

Rédigé par Ecole de Tai Ji Quan Côte basque

Publié dans #taichichuan-cotebasque

Repost0

Publié le 31 Juillet 2012

Rédigé par Ecole de Tai Ji Quan Côte basque

Publié dans #taichichuan-cotebasque

Repost0

Publié le 25 Juillet 2012

Rédigé par Ecole de Tai Ji Quan Côte basque

Publié dans #taichichuan-cotebasque

Repost0

Publié le 22 Juillet 2012

Rédigé par Ecole de Tai Ji Quan Côte basque

Publié dans #taichichuan-cotebasque

Repost0

Publié le 20 Juillet 2012

 

C'est l'angoisse des voyageurs et des expatriés : en cas de maladie ou d'accident, que faire ? Un problème qui se pose bien sûr en Chine, où on n'a souvent que le choix entre prix insensés ou soins de seconde zone. Notre reporter en a fait la douloureuse expérience.

Si par malheur vous tombez malade ou avez un accident en Chine, deux options s’offrent à vous, dans les grandes villes tout du moins. La plus évidente consiste à se rendre dans un hopital étranger(1), on vous y offrira des services équivalents à ceux proposés par une clinique privée en France, dans une ambiance aseptisée qui vous fera oublier jusqu’au fait que vous êtes en Chine. Les tarifs y sont en conséquence, et prohibitifs si vous ne disposez pas d’une bonne assurance - 600 RMB (environ 80 euros) pour une consultation de généraliste, 1500 RMB (environ 200 euros) pour celle d’un spécialiste.

Si vous n`avez pas de couverture médicale qui permette de prendre en charge les frais d’hospitalisation dans un hôpital étranger, où si vous êtes installé dans une province chinoise reculée, il vous reste l’option d’aller vous faire soigner dans un hôpital chinois. Afin d’éviter les mauvaises surprises, quelques conseils afin de vour préparer au mieux pour cette expérience.

Faites vous aider

L`auteur de cet article a été plongée brutalement dans la réalité de l’hopital chinois après une fracture des vertèbres suite à une chute à ski dans une station au nord de Pékin.
Premier conseil : s’il est difficile de s’assurer qu’on sera en bonne compagnie au moment de son accident, soyez au minimum toujours muni d’un téléphone portable, sans lequel vous risquez de disparaitre pendant plusieurs mois dans un hôpital de campagne. Transportée en civière à l’hopital local après ma chute, j’aurais pu y passer les trois prochains mois si les amis chinois qui m’accompagnait ne s’étaient démenés pour trouver un hôpital sur Pékin qui veuille bien m’accueillir et une ambulance pour m’y amener. L’hôpital chinois est en effet une sorte de self-service où les repas, ambulances et contacts entre hôpitaux doivent être organisés exclusivement par les patients eux-mêmes ou par leurs proches. Pour les transports en ambulance, sachez qu’il faudra aussi prévoir des amis pour vous porter, les ambulanciers ne venant jamais en nombre suffisant.

Patience

Deuxième conseil: armez vous de patience, les hôpitaux chinois étant réputés pour leurs files d’attentes interminables – l’occasion de pratiquer votre chinois avec vos camarades d’infortune. Troisième conseil : faites vos propres recherches. Transportée depuis la station de ski jusqu’à l’hôpital de Jishuitan à Pékin, j’y ai été examinée environ cinq minutes, puis on n’a mis un corset avant de me renvoyer chez moi, avec pour seule consigne de rester allongée et de revenir trois mois plus tard. Pas de suivi entre temps, pas de médicaments, des indications minimales, on reste un peu sur sa faim.

J’ai fini par payer la consultation à 1500 yuan les 10 minutes chez International SOS. Et je ne le regrette pas, bien que j’ai trouvé ces tarifs démesurés par rapport à la prestation fournie. S’il n’est pas du ressort de cet article de juger la qualité des soins offert dans un hopital chinois, on mesure en tout cas y faisant un passage le parcours du combattant que le chinois moyen doit accomplir pour se faire soigner. On en ressort avec une nouvelle appréciation pour le système de santé français, malgré ses failles, et des histoires à raconter.

 

 

 

 

Voir les commentaires

Rédigé par Ecole de Tai Ji Quan Côte basque

Publié dans #taichichuan-cotebasque

Repost0

Publié le 13 Juillet 2012

Rédigé par Ecole de Tai Ji Quan Côte basque

Publié dans #taichichuan-cotebasque

Repost0

Publié le 11 Juillet 2012

Rédigé par Ecole de Tai Ji Quan Côte basque

Publié dans #taichichuan-cotebasque

Repost0

Publié le 10 Juillet 2012

 construite par la Chine en plein cœur de l’Angola

Nova Cidade de Kilamba est une ville flambant neuve, faites de bâtiments aux couleurs vives et impeccables, construite en moins de trois ans à une trentaine de kilomètres de Luanda, capitale de l'Angola. Nova Cidade de Kilamba est également à peu près vide, une ville fantôme bâtie par une compagnie d'Etat chinoise – China International Trust and Investment Corporation (Citic) – pour la modique somme de 3,5 milliards de dollars. Où sont passés les 500 000 personnes que peut accueillir ce complexe urbain qui détonne tant aux alentours de la capitale angolaise ?

Une journaliste de la BCC a visité Nova Cidade de Kilamba, décrivant un endroit"étonnamment silencieux, les voix rebondissant sur les murs de béton tout frais et les routes vides. Il n'y a guère de voitures et encore moins de personnes, juste des dizaines de rangées d'appartements colorés se répétant à l'infini, les volets fermés et les balcons vides. Après avoir conduit pendant quinze minutes, nous n'avons rien vu à part des ouvriers chinois, dont beaucoup vivaient dans des préfabriqués autour du site."

La ville nouvelle déserte est l'œuvre de l'Etat chinois qui, en contrepartie, a été payé, comme c'est souvent le cas en Afrique, par un accès prioritaire aux ressources naturelles du pays, le pétrole dans le cas de l'Angola.

Techniquement, le projet pharaonique a donc été amorti par le gouvernement angolais. Le problème, c'est que personne ne vient. Sur les 2 800 appartements disponibles dans un premier temps dans les 750 bâtiments de huit étages, seuls 220 ont été vendus. Sur la dizaine d'écoles du complexe, seule une poignée fonctionne.

Le projet est défendu bec et ongles par le gouvernement du président José Eduardo dos Santos, qui avant le début de son mandat avait promis de construire un million de maisons en quatre ans. Le problème actuel étant que les résidences de Nova Cidade de Kilamba – dont le prix oscille entre 120 000 et 200 000 dollars – sont inaccessibles pour la grande majorité de la population, dont les deux tiers vivent avec moins de 2 dollars par jours, selon les estimations des organisations internationales.

"Il n'y a tout simplement pas de classe moyenne en Angola, uniquement les très pauvres et les très riches. Et donc, il n'y a personne pour acheter ce type de logement", résume Elias Isaac, membre de l'Open Society Initiative of Southern Africa (OSISA), cité par la BBC. Le gouvernement angolais promet de faciliter les emprunts-logements et de prévoir une part de logements sociaux dans le parc immobilier. Ses détracteurs estiment qu'il a surtout voulu se précipiter en vue de l'élection présidentielle, qui a lieu le 31 août. (Photos Facebook).

source: M BLOGS 4 Juillet 2012 via MCB

Voir les commentaires

Rédigé par Ecole de Tai Ji Quan Côte basque

Publié dans #taichichuan-cotebasque

Repost0

Publié le 7 Juillet 2012

03/07/2012 | (ALC).

Alors que la province s'enflamme à nouveau, un documentaire pour comprendre l'identité tibétaine.

En 2009, quelques semaines avant un double anniversaire, très sensible, en Chine – le cinquantenaire de la fuite en Inde du Dalai Lama et celui des dernières révoltes du Tibet, en Mars 2008, Charlotte Cailliez et Frédérique Zingaro étaient parties à la rencontre des Tibétains, pour essayer de comprendre ce que peuvent être leurs attentes et leurs espoirs. 

Mission complexe : la région autonome du Tibet est totalement interdite d’accès aux journalistes indépendants, et les zones tibétaines dans les provinces chinoises limitrophes de plus en plus étroitement bouclées par la police et l’armée. 

Même à Dharamsala en Inde, difficile de parler librement : les réfugiés tibétains – environ 3000 de plus, chaque année- sont traumatisés par la répression renforcée depuis les émeutes de l’an dernier et craignent des représailles contre leurs familles restées au Tibet.

Autrement dit, ce qui caractérise essentiellement le fait d’être tibétain, aujourd’hui dans le Gansu, le Qinghai ou le Hunan, c’est d’avoir peur …

Leur voyage a été ponctué d’expulsions manu militari, mais aussi de moments cocasses et de rencontres magiques, toujours en catimini… Delek, la jeune étudiante, qui étudie sa langue et sa civilisation, même si elle sait que la cause est déjà perdue. L’oncle Adung, l’éleveur de yacks, si fier d’être Tibétain… Tenzin , qui a 20 ans et débute comme acteur de télé et de cinéma, qui se verrait bien vivre à Shanghai, même si la pensée que ses enfants n’auront plus rien de tibétain lui brise le cœur…

Leur identité est en train de mourir, sur les haut plateaux, dans les villages et les monastères. Ecrasée sous la botte chinoise, ou noyée petit à petit dans une acculturation indissociable du progrès a la chinoise… 

Nous vous proposons aujourd'hui de revoir ce reportage à la recherche de l'identité tibétaine.


Comment être tibétain aujourd'hui ? by aujourdhuilachine 

Un reportage de de Charlotte Cailliez, Frédérique Zingaro et Mathias Lavergne - ARTE GEIE / Hikari Films – France 2009

Voir les commentaires

Rédigé par Ecole de Tai Ji Quan Côte basque

Publié dans #taichichuan-cotebasque

Repost0

Publié le 4 Juillet 2012

29/06/2012 | Louise Bellecombe.

Si la Chine a promis qu’Hong Kong conserverait une relative autonomie jusqu’en 2047, il semble que quinze ans après la rétrocession, l’étau du communisme se resserre insidieusement sur l’ancienne colonie britannique.

La baie de Hong Kong

Le principe « un pays, deux systèmes » qui a permis jusqu’à présent à Hong Kong de profiter de libertés dont ne bénéficie pas le reste de la Chine, n’est-il pas en train de glisser vers une dangereuse « harmonisation » ?

Liberté d’expression en recul

Le site d’informations indépendant Asiasentinel rapporte les propos d’un reporter écarté de la rédaction du journal hongkongais South China Morning Post par le nouveau rédacteur en chef, officiellement pour des questions de budget.
« Pour moi, il est clair que c’est une décision politique. Cela fait 7 mois que Wang Xiangwei (ancien employé du journal officiel chinois, le China Daily ndlr) m’empêche d’écrire sur la Chine pour le journal », a déclaré le journaliste Paul Mooney.

Ses derniers reportages sur la Chine n'ont pas été publiés pour des motifs divers. Son cas est loin d'être isolé : plusieurs de ses confrères ont même reçu l'ordre de travailler sur des articles "plus positifs".

Paradoxalement, le New York Times vient de lancer sa version en ligne en chinois, espérant contrer la grande muraille de la censure. Reste à savoir si les articles pourront être lus sans difficulté.

« Une situation de plus en plus critique »

Selon le politologue hongkongais Willy Lam, « la situation est devenue de plus en plus critique ces dix dernières années. Hong Kong est supposée jouir d’une large autonomie mais le contrôle de Pékin s’est fait de plus en plus oppressant. Les médias reçoivent désormais des consignes pour ne pas mettre le gouvernement dans l’embarras ».

Pékin dispose d’ailleurs d’un bureau représentatif à Hong Kong qui lui permet de veiller au respect des instructions et ne se prive pas d’interférer dans la politique.

D'après le spécialiste, Hong Kong devrait être complètement intégré au modèle chinois d'ici une dizaine d'années maximum.
Le renforcement du contrôle de Pékin se caractérise, par ailleurs, par son soutien au nouveau chef de l’exécutif, Leung Chun-Ying, supposé être le garant de la loi fondamentale de Hong Kong, élu le 25 mars dernier.

Des commémorations tendues

Pour le politologue, les élections législatives de septembre prochain représentent également un danger pour l'autonomie de Hong Kong, Pékin ne se cachant pas de soutenir le candidat pro-chinois. Cette crainte est partagée par les Hongkongais, qui vont manifester le 1er juillet, comme chaque année depuis la rétrocession.

Ils espèrent être nombreux, ayant en tête la manifestation monstre de 2003 qui avait poussé Tung Chee-Hwa, chef du gouvernement de l’époque, à démissionner. Reste à savoir si Pékin tiendra compte du mécontentement grandissant des Hongkongais.

Voir les commentaires

Rédigé par Ecole de Tai Ji Quan Côte basque

Publié dans #taichichuan-cotebasque

Repost0