Publié le 20 Avril 2016
Publié le 17 Avril 2016
Découverte par une équipe d'archéologue dans les montagnes de l'Altaï, en Mongolie, une momie portant des chaussures ressemblant à celles de la marque à trois bandes.
On risque de ne retenir de ce corps, conservé plus de 1500 ans après sa mort, que l'apparence de ces chaussures. Les photos d'une momie mise au jour en Mongolie cette semaine ont fait le tour du monde après la publication d'un gros plan sur ses souliers ressemblant à des Adidas. Cette découverte est pourtant jugée "rarissime" par les archéologues, et pas en raison de ce clin d'oeil à la marque à trois bandes.
Les archéologues du Musée de Khovd, qui n'ont évidemment pas mentionné la marque allemande, ont en effet une occasion d'en savoir plus sur les traditions et la culture du peuple turcique, qui habitait notamment dans cette région. Car la tombe, découverte à 2803 mètres d'altitude dans les montagnes de l'Altai, contenait de nombreux outils du quotidien de l'époque dont un vase d'argile, une bouilloire en fer, quatre bols, des oreillers mais aussi une selle de cheval -ainsi que les restes de ce dernier, "très probablement sacrifié"-, les restes d'une chèvre et d'un mouton et quatre morceaux de vêtements finement tissés, rapporte le Siberian Times.
"C'est la première fois que l'on découvre une tombe turcique complète, du moins en Mongolie et probablement dans toute l'Asie centrale", s'est félicité l'un des archéologues auprès du journal russe. "D'après les objets que nous avons découverts, nous pensons que la tombe date du 6e siècle après J.C.", a-t-il ajouté.
Pour en savoir plus sur l'identité de la momie, les chercheurs vont devoir "déballer précautionneusement" le corps. En attendant, ils prédisent avoir trouvé une femme, notamment parce qu'ils "n'ont pas trouvé d'arc dans la tombe". Ils estiment aussi qu'elle venait d'un milieu modeste, même si les objets retrouvés étaient "de bonne facture". Ce qui prouve, selon eux, que "ce peuple possédait de très bons artisans et était très développé".
Cette momie de 1500 ans va-t-elle être poursuivie pour contrefaçon par Adidas ?
Publié le 14 Avril 2016
Vertige quand tu nous tiens ......
Publié le 11 Avril 2016
Rendez-vous en terre inconnue L'animateur Frédéric Lopez propose à Clovis Cornillac de partir en sa compagnie pour une destination inconnue, à la rencontre des habitants d'une région reculée du globe. Clovis Cornillac a accepté de le suivre vers cette terre inconnue, les yeux bandés. Au cours du vol, il apprendqu'il va découvrir la province du Guizhou, au sud de la Chine. L'aventure se poursuit pour lui une fois arrivé sur place. Au coeur de paysages époustouflants de montagnes et de rizières en terrasses, Frédéric et Clovis partent à la rencontre d'une communauté Miao. Les Miao font partie des 56 groupes ethniques officiellement reconnus par la République populaire de Chine.
La Chine est le pays de tous les superlatifs. Grande comme 17 fois la France, elle est devenue la 1re puissance économique mondiale alors que la moitié de sa population est rurale. L’ultramodernité de ses mégalopoles tentaculaires côtoie des campagnes pétries de traditions millénaires, où bat le coeur du pays. Pour ce 18e opus de Rendez-vous en terre inconnue, c’est Clovis Cornillac qui a accepté de s’envoler les yeux bandés au bras de Frédéric Lopez. En plein vol, il découvre sa destination : la province du Guizhou, au sud de la Chine. Dans cette région reculée, longtemps restée inaccessible, ils vont partager le quotidien d’une communauté Miao.
Les Miao sont l’une des 56 minorités chinoises. Ils sont environ 9 millions à vivre en Chine. Des chiffres impressionnants. Et pourtant, ils représentent moins de 1 % de la population de ce gigantesque pays d’1,3 milliard d’âmes. Les Miao vivent majoritairement dans le Guizhou, province au relief marqué. Dans ces montagnes escarpées, le temps semble parfois suspendu comme les brumes à la cime des arbres. Clovis Cornillac et Frédéric Lopez ont rendez- vous avec des familles qui ont choisi de vivre dans une zone difficile d’accès, au coeur des Montagnes de la Lune. Leur village d’une vingtaine de maisons est comme posé au sommet d’un piton rocheux, dominant rizières, forêts de bambous et de sapins.
Clovis Cornillac et Frédéric Lopez arrivent à un moment de l’année crucial pour les Miao : la récolte du riz. En seulement quelques jours, la communauté doit faire ses réserves de nourriture pour toute une année. C’est aussi un moment de retrouvailles important pour les familles qui s’entraident en cette période de moissons. Simplement équipés des mêmes faucilles que leurs ancêtres, tous les membres de la communauté se mobilisent, jour après jour, pour ramasser la précieuse récolte. S’ils continuent de cultiver le riz avec les mêmes gestes depuis des millénaires, les Miao n’ignorent rien de la modernité qui les entoure. Les maisons ont gardé leur architecture séculaire mais elles sont équipées de l’électricité, de l’eau courante, et même parfois de la télévision. Et nombreux sont les Miao qui connaissent les immenses métropoles chinoises. Infatigables travailleurs, les Miao savent faire preuve d’une abnégation sans limite. Ils sont capables de parcourir des milliers de kilomètres à travers le pays pour aller travailler sur des chantiers de chemin de fer ou dans des usines, des mois durant et dans des conditions très souvent insoutenables. Ils n’ont qu’un seul et unique but : gagner le plus d’argent possible pour améliorer le quotidien de leur famille et, surtout, envoyer leurs enfants à l’école. Car c’est eux le bien le plus précieux des Miao. Les parents se battent chaque jour pour que leurs enfants bénéficient de la meilleure éducation possible et échappent, peut-être, à une vie de labeur au coeur de ces montagnes exigeantes.
Publié le 9 Avril 2016
Utiliser l'intention au lieu de la force
Dans les Classiques du Tai Chi, nous retrouvons : « Ceci relève complètement de l'utilisation de l'intention au lieu de la force. » Lorsque vous pratiquez le taijiquan, permettez à votre corps tout entier de se détendre pour ainsi ouvrir les articulations. N'utilisez aucune force brute ne serait-ce même que la plus infime quantité de celle-ci, ce qui aurait comme résultat un blocage au niveau musculo-squelettique ou circulatoire qui vous restreindra et vous inhibera. Alors seulement serez-vous en mesure de vous déplacer d'une façon naturellement circulaire, effectuant des changements et des transformations avec légèreté et agilité. Si vous déplacez votre corps avec force et raideur, vous obstruez les méridiens, le Qi et le sang sont bloqués, et les mouvements ne sont pas agiles; tout ce qu'une autre personne aura à faire est de commencer à vous guider et tout votre corps suivra. Si vous utilisez l'intention au lieu de la force, là où votre intention se dirige, le Qi s'y dirige aussi. De cette façon – du fait que le Qi et le sang affluent, circulant chaque jour à travers tout le corps, sans aucune stagnation – et après beaucoup de pratique, vous cultiverez la véritable force interne. C'est ce que l'on retrouve dans les Classiques du Tai Chi : « Seulement en étant extrêmement détendu serez-vous en mesure d'atteindre une force extrême. » Un véritable adepte du Tai Chi a des bras de fer immensément lourds qui semblent être recouverts de soie. Une personne qui pratique les arts martiaux externes paraît très puissante lorsque la force est employée. Mais lorsque la force n'est pas employée, cette personne est très légère et semble flotter. Nous voyons alors que sa force n'est qu'externe, superficielle. La force d'un adepte des arts martiaux externe est particulièrement facile à guider ou à dévier, n'ayant donc pas beaucoup de valeur [ou d'utilité].
Yang Chengfu (traduit par Paul Duval)
Publié le 8 Avril 2016
Du fait de l'absence de Maité le 30 Avril, l'atelier sera reporté à une date ulterieure
Pour définir cette date contacter Marie-Christine
Publié le 2 Avril 2016
Arrêt des cours
le samedi 9 avril 2016
Reprise des cours Lundi 25 Avril 2016
Publié le 1 Avril 2016
Publié le 31 Mars 2016
Publié le 27 Mars 2016
© Chine Informations, le 21/03/2016
L'air pur devient une denrée rare en Chine, si bien que des villageois de la province du Guangdong en Chine ont décidé d'en vendre dans des sacs plastiques, aux touristes venus visiter la montagne locale de Jinzi.
Sur les sacs remplis d'air pur sont apposés des slogans tels que : « acheter de l'air c'est acheter de la santé », « air sans pollution industrielle » ou encore « air prélevé à 1 400 mètres d'altitude. »
Selon un article publié le 20 mars sur le portail chinois Sina, un grand sac d'air est vendu 30 yuans tandis que le petit se négocie à 10 yuans.
Les sacs en question sont plus des souvenirs que des produits à consommer sur place puisque les randonneurs peuvent escalader eux-mêmes la montagne pour récupérer ce qui est certainement l'air le plus propre de la région.
Alors que certains touristes se contentent de profiter de l'air pur gratuitement, d'autres déboursent des sommes considérables pour amener quelques sacs à leur domicile.
L'idée de ce commerce insolite est venue récemment à Zhi Chenglin, une villageoise locale qui après avoir travaillé pour une entreprise de livraison à Canton pendant trois ans, était fatiguée d'inhaler quotidiennement un air particulièrement pollué. Elle explique aux journalistes que sa démarche a surtout pour objectif de rappeler aux citadins de travailler à un environnement propre.
La région du Guangdong est le foyer de plus de 60 000 usines, selon Places Journal, un média basé à San Francisco qui se concentre sur l'urbanisme et l'architecture. Les habitants des zones urbaines polluées par le smog, profitent du weekend pour se réfugier dans les montagnes boisées environnantes.
La pollution pose de graves problèmes de santé en Chine. En 2013, une fillette de 8 ans de la province du Jiangsu a été diagnostiquée avec un cancer du poumon, devenant la plus jeune personne souffrant de la maladie ; les médecins ont attribué son mal à l'exposition à long terme au smog.
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