Publié le 3 Janvier 2012

Rédigé par Ecole de Tai Ji Quan Côte basque

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Publié le 1 Janvier 2012

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Publié le 31 Décembre 2011

 

Copyright © Chine Informations - , le 05-12-2011 
par ERIC MEYER, notre partenaire du Vent de la Chine.

 


Dernière campagne dans Pékin : pour six mois, la ville traque les geôles clandestines où croupissent les pétitionnaires provinciaux ayant eu le malheur de se faire repérer. 

Ces cachots banlieusards sont l'investissement collectif, défensif des bureaux des provinces. Les pétitionnaires montent à Pékin, après avoir subi un grief (expropriation, abus de pouvoir) non réparé par la justice locale. Ils ont souvent des preuves susceptibles d'inquiéter les caciques locaux, et en cas d'échec de leur démarche, il leur reste la presse pékinoise, assez protégée des « bras longs » provinciaux.

Aussi, ce leadership local a imaginé 10 ans en arrière, de faire appel à des « entreprises de sécurité » pour neutraliser les plaignants, repérés (parfois à leur accent !) autour des gares, des tribunaux et autres étapes incontournables de leur longue marche pour la justice. Enlevés, incarcérés des jours ou mois, ils sont aussi maltraités, pour leur faire passer le goût de se défendre. Une ONG recensait en 2010, 2 600 victimes - chiffre qu'elle estime très en-deçà de la réalité.

Sur ces « prisons au noir », Pékin fait le nettoyage :
- à cause de l'illégalité du système ;
- souhaitant alléger la tension sociale en combattant publiquement la violence ; 
- mais elle veut aussi reprendre en main les 5 500 bureaux de représentation des villes, préfectures et provinces, dont l'action lobbyiste alimente inflation et corruption.

Cela dit, les pétitionnaires gardent leurs doutes : pour une taule fermée, 10 demeurent, cachées ou pistonnées.

 

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Publié le 25 Décembre 2011

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Publié le 24 Décembre 2011

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Publié le 22 Décembre 2011

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Publié le 19 Décembre 2011

 

Nicolas Carré, président du jury du concours «Bordeaux contre Ningxia»
Nicolas Carré, président du jury du concours «Bordeaux contre Ningxia»
RFI

Par Agnieszka Kumor / Stéphane Lagarde

Des vins chinois plus appréciés que les bordeaux ! C’est le résultat surprenant d’une dégustation à l’aveugle qui a réuni dix experts chinois et français mercredi 14 décembre 2011 à Pékin. Quatre bouteilles sont arrivées dans le haut du classement. Tous des rouges, et tous venant de la même province du nord-ouest de la Chine. Le concours a en effet été baptisé « Bordeaux contre Ningxia », l’idée étant de promouvoir les meilleurs vins de cette région.

Avec notre correspondant à Pékin

« Des montagnes baignées par le fleuve jaune, bercées par les vents du désert », voilà déjà plusieurs années que les viticulteurs du Ningxia font la publicité de leurs cépages. 
Comme le lac Yangcheng pour les crabes, ou les collines du lac de l’ouest pour le thé vert, le versant est du mont Helan est devenue une référence pour les amateurs de vins chinois surtout à l’étranger. En septembre dernier, un vin rouge de la région du Ningxia avait déjà fait la Une. A Londres, un JiaBeiLan avait alors remporté l’un des prestigieux trophées des Decanter World Wine Awards.

Etiquettes anglophones

La plupart des bouteilles présentées au jury à Pékin étaient des Cabernet Sauvignon avec des noms de domaines à consonance anglophone. Sous la chaussette de dégustation du mieux classé, Grace Vineyard Chairman’s Reserve 2009, un assemblage de raisins du Ningxia et du Shanxi : « L’assemblage a été réalisé au domaine Grace Vineyard dans le Shanxi, mais les raisins viennent aussi du Ningxia », précise Nicolas Carré, sommelier et chef des juges français sur le concours. A la deuxième place est arrivée un Silver Heights The Summit 2009 (Ningxia), suivi par un JiaBeiLan Cabernet Dry Red 2009 (Ningxia), un Deep Blue Grace Vineyard 2009 (Ningxia) et à la cinquième place Lafite Barons de Rothschild Saga 2009 (Médoc).

Depuis 2003, la province du Ningxia a été classée zone protégée et a pu ainsi devenir la troisième grande région viticole de Chine avec le Shandong et le Heibei, au nord de Pékin. Peuplée par les Hui musulmans, la province est réputée pour ses belles journées ensoleillées et des sols qui parfois peuvent faire penser à ceux du Bordelais en France.

Taxes sur les vins étrangers

Ces progrès enregistrés par les vins du Ningxia ne veulent pas dire pour autant que les vins français ont été détrônés par les vins chinois. Les Kressmann Saint-Emilion 2008, Calvet Réserve de l’Estey Médoc 2009 et autre Médoc Mouton Cadet Réserve 2009 qui n’ont pas retenu l’attention des dégustateurs, ont ici quelques excuses. La compétition s’est tenue à prix égal, avec des tarifs oscillant autour de 200 à 350 yuans (24 et 43 euros) la bouteille, mais les cuvées françaises sont pénalisées par les taxes d’importation de 48% sur les vins étrangers, a indiqué à l’AFP Jim Boyce, l’un des organisateurs de la dégustation et fondateur du sitegrapewallofchina.com qui a pour objectif de promouvoir les vins chinois.

Un peu d’eau dans ce vinIl convient donc de comparer ce qui est comparable. « Les adversaires du concours ne jouaient pas dans la même catégorie », estime Christophe Macra, master of wine. Les vins chinois représentent le top de la production chinoise actuelle. Face à eux des adversaires positionnés en milieu de gamme, dont les prix en France vont de 7 à 17 euros. En outre, pour la plupart des prétendants français il s’agit de vins de négoce. Tandis que les cuvées chinoises sont le fruit d’une élaboration particulièrement soignée. La seule cuvée française primée, Saga de Lafite, se distingue quant à elle par une sélection rigoureuse de la part de son producteur, Domaines Barons de Rothschild. Il faut aussi prendre en considération des conditions de stockage. Le voyage est souvent préjudiciable pour le vin.

La longue marche

 

Christophe Macra, master of wine.
David Coulon

« L’excellence des cuvées primées vient en partie du fait que beaucoup de nouveaux maîtres de chais chinois ont fait leurs études à Bordeaux. C’est le cas d’Emma Gao à la tête de Silver Heights qui a reçu son diplôme national d'oenologue à l’université de Bordeaux, ou encore de Li De Mei, consultant de Jia Bei Lan », rappelle Christophe Macra. Les Français savent bien d’où souffle le vent du Nouveau Monde et ils investissent dans de régions porteuses. Tels Pernod Ricard dans le Domaine Helan Mountain, ou Moët & Chandon qui a mis en route un projet de partenariat avec le groupe agricole Ningxia Nongken pour produire des vins pétillants dans la région de Ningxia.

Sur les 130 millions de litres de vin produits en Chine en novembre, les crus du Helan Shan dans le Ningxia, comme ceux du Shandong et du Shanxi restent toutefois des exceptions. Malgré la publicité, une majorité des consommateurs chinois reste très attachée aux châteaux du Bordelais français, pour accompagner, avec modération bien sûr, un canard laqué ou un pâté de soja.

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Publié le 16 Décembre 2011

Copyright © Chine Informations - , le 03-12-2011

De Francois de la Chevalerie, décembre 2011.

Gansu Google Map Dunhuang

Dans la province du Gansu, aux environs de la municipalité deDunhuang dans la préfecture de Jiuquan, des formes étranges gigantesques ont été remarquées depuis le ciel par les satellites Terra ou landsat 7. Révélées par google maps, ces photos suscitent la controverse.

Avant poste sur la route de la soie, entourée de montagnes, ville commerciale au début du premier millénaire, Dunhuang se situe à l'est du désert du Taklamakan. Cette ville est surtout connue depuis la découverte en 1900 de grottes bouddhiques datant du 4ème siècle et abritant, entre autres vestiges, une bibliothèque murée. Dans celle-ci, ont été retrouvés des manuscrits tibétains dont certains sont considérés comme les premiers ouvrages imprimés de l'histoire de l'humanité tel le Soutra du Diamant, datant de 868 après J.-C.

A quelque encablure de Dunhuang, dans une zone désertique, les photos répertorient des structures titanesques. Une première observation laisse penser à des géoglyphes, formes à l'architecture mathématique complexe. Leur disposition spatiale rappelle les figures géométriques de Nazca au Sud du Pérou. Un cliché représente des milliers de lignes accidentées s'entrecroisant dans une sorte de grille gigantesque et s'étirant sur 25 kilomètres de long. Un autre cliché préjuge la présence de tours de refroidissement comme celles utilisées dans les centrales nucléaires.

Quelle serait l'utilité d'un tel ouvrage, situé dans une zone particulièrement déshéritée, presque inhabitée et dépourvue d'intérêts stratégiques ?

Écartée d'abord l'hypothèse d'une zone de développent économique comme il en existe par trop en République Populaire de Chine car la région est loin de tout. Ce d'autant plus que, renseignements pris, il n'existe aucun projet de cette sorte dans les environs de Dunhuang.

Exclue l'option d'une centrale nucléaire ou d'une mine. Le Ministère chinois de l'industrie dispose d'un registre de toutes les installations Aucune ne se trouve dans les parages. Pas davantage de mine d'une telle ampleur dans les environs.

Reste la possibilité d'une usine solaire. En effet, une unité existe àDunhuang laquelle devrait génère 1.48 million kWh. Si cette région assez ensoleillée se prête à ce type d'industrie, cette dernière est néanmoins de petite taille à comparer avec la puissante centrale solaire thermique d'Europe 'Andasol', d'une puissance de 100 MW.

Reste la piste militaire. Très éloigné des zones frontalières, cet emplacement ne semble pas judicieux à moins qu'il s'agisse d'une base arrière mais celle-ci serait alors fort éloignée des zones dites à risque. De surcroit, la visibilité depuis le ciel la rendrait immédiatement vulnérable.

Aire d'accueil pour les extraterrestres (wài xing rén)

carte Google Map Gansu

Curieusement Dunhuang se trouve dans la préfecture de Jiuquan. Or le premier centre spatial chinois porte le même nom.

Il n'en fallait pas moins pour suggérer l'attention des ufologues dont certains soupçonnent que ce complexe serve d'aire d'accueil pour des vaisseaux extraterrestres.

Visible depuis le ciel, elle leur permettrait de s'orienter sans encombre vers la Terre. Du reste, l'environnement géographique ressemble à s'y méprendre à la zone 51 dans le Nevada. Zone désertique nullement affligée par la pollution lumineuse, ciel le plus souvent clair dépourvu de nuages. Qui plus est, elle couvre une vaste surface dans les environs d'une centaine de kilomètres carrés. Qui plus est, le climat sec de la région, la nature du terrain et l'absence de végétation devraient permettre à des dessins géométriques de se maintenir longtemps.

Si d'aventure cette hypothèse était confirmée, elle serait conforme aux appétits grandissant de la chine en matière spatiale. S'appuyant sur des budgets en croissance, les chinois multiplient les initiatives et axes de recherche sous l'autorité de la China National Space Administration (CNSA). Outre le programme la navette spatiale Shenzhou (vaisseau divin) mais surtout Tiangong 1 (Palais céleste) station spatiale développée par l'agence spatiale chinoise CNSA, la recherche d'intelligences extraterrestres (xún zhao wài xing rén) est aussi retenue.

Nullement caricaturée comme elle peut l'être dans certains pays occidentaux, cette hypothèse fait l'objet d'une attention croissante en Chine même si les autorités restent muettes à ce sujet. Des associations d'observations d'ovnis (fei dié) se multiplient. A la différence des pays occidentaux, leur composition regroupe des scientifiques lesquels abordent cette question de manière décomplexée et appuient leur réflexion sur les nombreux incidents rapportés ces dernières années. Les pages des journaux chinois abondent d'articles recensant des apparitions étranges dans le ciel de Chine avec une liberté de ton assez surprenante. Avec force de détails, chaque cas suscite des analyses non dogmatiques où toutes les pistes possibles sont envisagées. Loin de tout tabou, l'objectif est de mieux connaître tout phénomène supposé en lien avec un monde extraterrestre.

Deux exemples en témoignent.

En octobre 2010, un aéroport en Mongolie Intérieure avait été fermé pendant plus d'une heure suite à l'observation d'un objet brillant aux mouvements erratiques dans le ciel repérés par des témoins et par le Bureau du Trafic Aérien. Plusieurs vols avaient été alors redirigés vers Baotou. Au bout d'une heure, les lumières ont disparu et les avions ont été autorisés à atterrir à nouveau. A l'été 2010, un OVNI avait aussi entraîné la fermeture pendant quelques heures de l'aéroport de Hangzhou.

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Publié le 13 Décembre 2011


 

Le mystère des "vaches magnétiques"

Improbabologie | LEMONDE | 02.12.11 |

Une vache

Une vacheREUTERS/DAVID MOIR

C'est une controverse scientifique presque aussi importante que celle qui opposa Galilée à l'Eglise sur l'ordonnancement des cieux : les vaches perçoivent-elles le champ magnétique terrestre, au point de s'aligner sur lui lorsqu'elles broutent ou se reposent ? Les éleveurs ont remarqué depuis longtemps que leurs bêtes ont tendance à évoluer en restant parallèles les unes aux autres. Histoire, croit-on, soit de donner le moins de prise au vent, soit de profiter au maximum du soleil les jours frais ou, au contraire, de minimiser la surface exposée aux rayons d'Hélios les jours chauds.

Que nenni, a affirmé en 2008 une étude germano-tchèque publiée dans lesProceedings (comptes rendus) de l'Académie américaine des sciences. En analysant des images de Google Earth montrant des troupeaux de bovidés, ses auteurs ont noté une préférence marquée, quelle que soit la saison, pour un alignement sur le champ magnétique terrestre. Les vaches se comportaient comme des boussoles, indiquant, qui de la corne, qui de la queue, les pôles Nord et Sud magnétiques.

Confirmation en fut apportée en relevant en forêt les empreintes laissées par d'autres ruminants, chevreuils et cerfs, quand ils se couchent dans la neige. Si l'orientation de nombreux animaux (tortues marines, pigeons, abeilles, etc.) en fonction du champ magnétique était déjà documentée, c'était la première fois qu'une étude la mettait en évidence chez de gros mammifères. Ce qui pouvait conduire àréévaluer la dangerosité des champs magnétiques pour un animal tel que l'homme.

BOUSSOLES INTERNES BOVINES

L'année suivante, la même équipe enfonça le clou en constatant, toujours grâce à Google Earth, nouvel outil de la science, que l'alignement Nord-Sud se défaisait quand les troupeaux paissaient sous des lignes à haute tension : le champ magnétique créé par le passage du courant perturbait les bêtes, qui avaient du même coup tendance à se disposer perpendiculairement aux lignes électriques. C'est tout juste si l'on ne débusquait pas enfin ici l'explication d'un phénomène universel, à savoir celui des vaches qui regardent passer les trains. En réalité, les vaches se moquent bien des motrices et de leurs wagons : elles s'occupent defaire un angle droit avec les voies électrifiées...

Mais chaque découverte capitale de l'histoire de l'humanité s'accompagnant de critiques, une polémique a éclaté en février au sujet des boussoles internes bovines. Ainsi, dans une étude publiée dans le Journal of Comparative Physiology,une autre équipe, tchèque à 100 % celle-là, démolit le bel édifice. En s'intéressant non plus à la direction générale des troupeaux mais à celle de chaque individu, ces chercheurs ne virent apparaître, sur un nouveau jeu de photos, aucune direction préférentielle dans la position des ruminants et dénoncèrent un biais expérimental dans l'article de 2008.

La riposte ne se fit pas attendre. Pour la première équipe, la moitié des images exploitées par ses détracteurs n'étaient pas pertinentes, car prises sur des terrains trop en pente ou près de lignes à haute tension. De plus, les clichés retenus étaient parfois si flous qu'on ne pouvait déterminer précisément l'orientation des bêtes, qui étaient parfois des moutons, voire, pis, des bottes de paille !

Pour l'heure, le mystère des vaches magnétiques reste donc entier. Amis éleveurs, attendez encore un peu avant de construire des étables feng shui pour améliorer la qualité du lait.


 

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Publié le 13 Décembre 2011

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