Publié le 24 Décembre 2016
Publié le 22 Décembre 2016
Publié le 17 Décembre 2016
Profitez en pour réviser......Le Tai Ji
Publié le 10 Décembre 2016
Pour les vacances de Noël
Arrêt des cours Samedi 17 Décembre 2016
Reprise Mardi 3 Janvier 2017
Bonnes fêtes à tous
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Publié le 3 Décembre 2016
Publié le 30 Novembre 2016
Publié le 26 Novembre 2016
La pratique des pieds bandés existe depuis le Xe siècle. Depuis plus de mille ans, cette coutume devenue mode en Chine est en train de disparaître définitivement alors que le pays l'a interdite en 1912 et tandis que la dernière usine produisant les « chaussures lotus », destinées à mettre en valeur ces pieds minuscules, a fermé ses portes il y a à peine six ans.
Ce n'est qu'en 1950 que la pratique a commencé à réellement disparaître avec l'ordre de Mao Zedong à ses « inspecteurs anti-pieds-bandés » d'humilier publiquement les femmes pratiquant cette vieille tradition qui ne reflétait plus la Chine moderne.
C'est pour garder un témoignage en noir et blanc de cette coutume que Jo Farrell est partie à la recherche des dernières femmes aux pieds bandés. Et afin d'aller au bout de son projet et de sortir un livre, la photographe a récolté des financements grâce à la plateforme participative Kickstarter, l'année dernière.
Son aventure a démarré par hasard en 2005 alors qu'elle discutait avec un chauffeur de taxi à Shanghai. Celui-ci mentionna dans la discussion que sa grand-mère avait les pieds bandés. Jo Farrell, surprise que cette vieille tradition subsiste encore aujourd'hui décida de se rendre au village de la grand-mère du chauffeur de taxi, dans la province du Shandong. Zang Yun Ying devint alors la première femme de son projet.
Ont suivis neuf ans de voyage à travers la Chine à traquer les dernières femmes aux pieds bandés. Elle rencontra finalement dans sa quête seulement cinquante d'entre elles dont la plus âgée, Zhang Yun Ying, atteint aujourd'hui l'âge de cent-trois ans. La plupart de ces femmes vivent encore dans des villages pauvres du Yunnan et du Shandong.
À Jo Farrell d'expliquer : « Dans la société chinoise, c'était la seule voie à suivre pour les femmes. Elles l'ont fait parce qu'elles pensaient que cela leur donnerait un avenir meilleur, une vie meilleure. »
Voici quelques photos proposées par le site officiel "Living History" :
© Chine Informations
Publié le 20 Novembre 2016
VIDÉO - Des Chinois ont déposé en juin dernier une marque «les calissons d'Aix», provoquant la colère des calissonniers aixois. Ces derniers, en pleine procédure d'IGP, voient en cette nouvelle marque une menace pour leurs tentatives d'exportations de leurs calissons.
Voilà une nouvelle que les fabricants de calissons d'Aix ont du mal à digérer: des Chinois ont déposé en juin dernier une marque «calissons d'Aix». Le nom n'est pas du tout du goût des producteurs de la fameuse confiserie, qui tentent actuellement de développer leur marché à l'étranger et voient dans ces faux «calissons d'Aix» une odieuse contrefaçon qui confondra à coup sûr des consommateurs non avertis. Le dépôt de la marque asiatique tombe d'autant plus mal que l'Union des Fabricants de Calissons d'Aix (UFCA) tente actuellement d'obtenir une Indication Géographique Protégée (IGP) pour protéger ses calissons.
» Fraude: 110.000 articles contrefaits saisis à Marseille
Produit inscrit au patrimoine gourmand immatériel de la ville d'Aix, le calisson aixois est protégé depuis 1991 par une marque collective au nom de l'UFCA. Mais cette marque, déposée en France, ne suffit pas à le protéger: à l'instar de nombreux produits régionaux, le calisson ne bénéficie d'aucune protection sur son appellation. On peut donc trouver dans de nombreux points de vente des calissons, fabriqués à Montélimar ou ailleurs en Europe, portant le nom de «calissons d'Aix».
Un cahier des charges stricts a été déposé en 2010
Une demande de mise en place d'IPG avait déjà été déposée en 2002 auprès de l'Union Européenne, mais la procédure n'avait pas abouti: les calissonniers, qui apportent chacun leur touche personnelle à leurs calissons, n'avaient à l'époque pas souhaité qu'un mode de fabrication unique leur soit imposé et avaient posé des recours. En 2010, ils avaient finalement produit un cahier des chargesencadrant la fabrication des confiseries: taille, forme, provenance des ingrédients et quantités, processus de fabrication... absolument tout y avait été défini. Un calisson traditionnel est donc composé d'un tiers d'amandes, d'un tiers de fruits confits (avec 80% de melon au minimum) et d'un tiers de sucre, formant ainsi une pâte nappée de glace royale et disposée sur une très fine couche de pain azyme. L'utilisation de poudre d'amandes est formellement interdite et les melons doivent impérativement être cultivés en Provence.
» Le créateur de L'Occitane se convertit au calisson
Certains producteurs de calissons ont commencé à se développer à l'étranger, comme les Calissons du Roy René, dont on peut déjà acheter les produits à Montréal et qui devrait ouvrir un point de vente à Miami ce mois-ci. D'autres fabricants envisagent d'exporter leurs confiseries en Amérique du Nord, en Asie et au Moyen-Orient. L'IGP, label européen reconnu à l'étranger, permettrait de protéger le calisson en le définissant comme un produit de la région d'Aix-en-Provence uniquement, et apporterait une belle visibilité à la ville d'Aix-en-Provence et à la région PACA.
Publié le 16 Novembre 2016
Publié le 10 Novembre 2016