Publié le 19 Mai 2008

La ville de Jiuquan dans le nord-ouest  de la Chine, célèbre comme ville abritant le centre de lancement  de satellite de la nation, s'affaire à une nouvelle mission  d'exploitation de ses riches ressources énergétiques dans l'espoir de devenir un géant mondial de l'énergie renouvelable. 

     Un ensemble de 28 nouvelles éoliennes, d'une capacité  installée totale de 10,65 millions de kwh, sera construit autour  de Jiuquan dans le désert du Gobi d'ici 2015. 

     Wang Jianxin, chef de la commission pour le développement et de la réforme de la ville de Jiuquan, a dit que le projet de  construction d'une base de plus de 10 millions de kwh était en  train d'être examiné par l'Institut de conception des Ressources  en eau et hydrauliques de Chine. 

     Les éoliennes de Jiuquan pourraient atteindre une capacité  installée de 35,65 millions de kwh dans le futur, a indiqué Wang. 

     La région est riche en ressources éoliennes et les réserves  énergétiques de Jiuquan sont évaluées à 150 millions de kwh, dont  40 millions de kwh exploitables, selon les dernières statistiques  des départements météorologiques. 

     Selon Liu Shengping, vice-chef du bureau des affaires  énergétiques de la commission pour le développement et la réforme  de Jiuquan, un grand développement d'éoliennes nécessiterait un  budget de quelque 120 milliards de yuans (environ 17,14 milliards  de dollars). 

     Pour garantir une opération stable du réseau local  d'électricité, la ville devra faire construire de nouveaux projets de centrales thermiques, d'une capacité totale de 13,6 millions de kwh d'ici 2020, en tandem avec les capacités éoliennes, d'après  Wang. 

     Jiuquan a commencé à construire des éoliennes en 1996 et  possède actuellement cinq éoliennes d'une capacité installée  totale de 410 000 kwh.

 

Voir les commentaires

Rédigé par Taichichouaneur

Publié dans #taichichuan-cotebasque

Repost0

Publié le 17 Mai 2008

La rénovation d'un monastère important au Tibet a repris à l'occasion de la douceur printanière après avoir été suspendue pendant l'hiver glacial. Les ouvriers sont retournés au monastère de Sagya à Lhasa, capitale de la Région autonome du Tibet (sud-ouest), pour restaurer la fresque de 2 000 mètres carrés. La rénovation, qui comprend la réparation des murs et des bâtiments et la mise en place d'un entrepôt pour les vestiges culturels, implique 86,6 millions de yuans (8,6 millions d’ euros) du gouvernement. Le monastère de Sagya abrite de nombreux livres classiques sur le bouddhisme et de peintures précieuses. Le projet fait partie d'une campagne de préservation comprenant la rénovation du Palais du Potala et du Palais de Norbulingka, qui a repris en mars. Le travail de restauration sur les trois sites a débuté en 2002 et devrait s'achever à la fin de cette année. Le coût de quelque 330 millions de yuans (33 millions d’euross) sera pris en charge par le gouvernement. Durant les deux décennies passées, les gouvernements central et local ont dépensé plus de 700 millions de yuans dans la protection et la rénovation d'environ 1 400 vestiges historiques et culturels au Tibet, dont des monastères.

Voir les commentaires

Rédigé par Taichichouaneur

Publié dans #taichichuan-cotebasque

Repost0

Publié le 16 Mai 2008

Pékin a enfin pris la mesure de la catastrophe, mais il y a désormais peu d'espoir de trouver des survivants. Dernier bilan officiel : 50 000 morts





 
Conscient que désormais chaque minute compte pour retrouver des survivants du séisme, le gouvernement a lancé un vaste mouvement de mobilisation de l'armée mais aussi de la population, encouragée à fournir d'urgence pelles, outils et bateaux pneumatiques pour équiper des dizaines de milliers de sauveteurs déployés sur le terrain. « Nous devons utiliser toutes nos forces pour sauver des vies à tout prix », a martelé le Premier ministre Wen Jiabao, ajoutant que cette bataille était la priorité numéro un de la nation. Après avoir obstinément refusé toute aide en personnel de l'étranger, le régime a finalement accepté l'envoi de spécialistes japonais qui risquent toutefois d'arriver trop tard. 130 000 soldats participent officiellement aux recherches, aux côtés de chiens renifleurs. Tous les villages, bourgs et villes touchés ont été visités par les militaires, l'armée de l'air ayant assuré plus de 300 rotations hier pour larguer vivres et matériel ou parachuter des sauveteurs.
Malgré l'ampleur des moyens mis en ?uvre, il semble toutefois extrêmement difficile de sauver les dizaines de milliers de personnes prisonnières des décombres dans cette zone montagneuse du Sichuan. Admettant implicitement que le bilan définitif sera très lourd, le gouvernement a donné pour la première fois, hier soir, une estimation des pertes humaines d'au moins 50 000 morts. Un nombre qui semble inclure une bonne partie des personnes ensevelies.


L'horreur. Soldats et secouristes découvrent l'horreur au fur et à mesure qu'ils atteignent la zone de l'épicentre, autour de Yingxiu, où des villes entières ont été rasées. Dans la seule ville de Shifang, plus de 30 000 personnes sont portées disparues ou injoignables.
À Yingxiu (10 000 habitants), la plupart des bâtiments se sont effondrés, et les responsables locaux ont annoncé que les trois quarts de la population étaient morts dans la catastrophe. Une fillette de 11 ans y a cependant été sauvée hier, après avoir passé 68 heures sous les décombres de son école.
À Hanwang (70 000 habitants), face à ce qu'il reste d'un lycée, des parents attendent avec anxiété que les sauveteurs dégagent des corps. Le plus terrible, racontent-ils, ce sont les voix qui s'élevaient des décombres juste après le séisme et qui se sont progressivement tues.
À Wudu, où un hôpital de fortune a été dressé sur une place, le docteur Li Rui et son équipe luttent pour sauver des vies, sans électricité, avec peu d'eau et un équipement dérisoire. « Le pire est de voir les gens mourir en sachant qu'on ne peut rien pour eux », confie-t-il, exténué. Selon les autorités, aucune épidémie ne s'est encore déclarée dans la zone du séisme, mais la bataille ne fait que commencer. Quelque 10 000 membres du personnel médical sont à pied d'?uvre.


Barrages : la menace. Mais un autre danger menace le Sichuan après le séisme : la rupture d'un barrage ou d'un réservoir d'eau. Des risques pour la sécurité ont, en effet, été détectés sur plus de 400 réservoirs, a annoncé la télévision officielle, tandis que le ministre des Ressources hydrauliques évoquait de « sérieux problèmes de sécurité » dans les installations hydrauliques.

Source Sud Ouest: 16/05/2008

Voir les commentaires

Rédigé par Taichichouaneur

Publié dans #taichichuan-cotebasque

Repost0

Publié le 15 Mai 2008

Le bilan du séisme s'élevait, hier, à 14 866 morts. Les secours tentent de sauver le maximum de rescapés, mais 25 000 personnes sont toujours ensevelies

Comment les sauver ?



 
L'armée chinoise a dépêché 50 000 soldats supplémentaires dans la province du Sichuan pour se joindre aux opérations de secours à destination des rescapés du puissant séisme, l'espoir s'amenuisant d'heure en heure pour les milliers de personnes toujours prisonnières sous les décombres ou la boue.
Dans cette zone désolée, l'avancée des secours, pourtant perturbée par la pluie, réserve parfois quelques courts moments de bonheur. Ainsi, à Mianzhu, où des milliers de personnes ont été tuées, un demi-millier de rescapés ont été extraits des décombres.


Vivante sous les corps de ses parents ! Hier encore, dans le district de Beichuan, à environ 90 kilomètres de l'épicentre du séisme, une petite fille de 3 ans a été sauvée après avoir survécu quarante heures sous les corps de ses deux parents, ensevelis sous des tonnes de décombres. Avant d'être transportée à l'hôpital, la fillette, dont les jambes sont brisées, a parlé aux sauveteurs et a également eu droit à la visite du Premier ministre chinois, Wen Jiabao. À Dujiangyan, une mère et sa fille enceinte de huit mois ont été sauvées après deux jours sous un immeuble en ruine. « Nous sommes très heureux. Nous avons passé deux jours à crier, raconte Pan Jianjun, un proche des deux rescapées. Mais il y a encore beaucoup de personnes (sous les décombres) que l'on entend. »
Le Premier ministre s'est rendu hier dans le Beichuan, un comté rural que les secours ont eu du mal à atteindre et où les dégâts sont immenses. « Votre souffrance est aussi la nôtre », a déclaré Wen Jiabao au milieu d'habitants en larmes. Les besoins de Beichuan en aide humanitaire ont été chiffrés : il faut 50 000 tentes, 200 000 couvertures et 300 000 vêtements chauds. L'eau potable et les médicaments manquent également. « Beichuan a tout simplement disparu. Il ne reste rien », témoigne un habitant, Li Changqing.
En périphérie de la ville de Mianyang, des rescapés arpentent un terrain de sport où se sont regroupés les sans-abri à la recherche de proches. « On ne nous a rien dit sur ce qui allait nous arriver. Cet endroit n'est que provisoire. Je ne sais pas quand, ni même si nous pourrons rentrer chez nous », dit Hu Luobing, venue d'un village du Beichuan où, dit-elle, tout a été détruit. Dans l'abri du terrain de sport, quelque 10 000 réfugiés tentent de se procurer des vêtements, des vivres, ou simplement de se protéger contre la pluie froide. « Je n'ai rien eu à manger depuis hier soir. On m'a seulement donné du pain et une bouteille d'eau pour mon enfant », déplore l'un d'eux.


Contraste avec la Birmanie. Dans le comté de Mianyang, où l'on dénombre des milliers de morts, quatre villages étaient toujours coupés du monde. Quelque 20 000 personnes sont aussi portées disparues dans le comté de Zhongan, notamment 120 mineurs pris au piège sous terre. Le tremblement de terre de lundi est le pire séisme qu'ait connu la Chine depuis celui de Tangshan, en 1976, qui avait causé quelque 300 000 morts.
Un premier appareil d'aide internationale, un avion russe acheminant 30 tonnes de matériel humanitaire, s'est posé hier à Chengdu, la capitale du Sichuan. La célérité avec laquelle le Parti communiste chinois a accepté l'aide internationale contraste fortement avec la résistance de la Birmanie voisine.
Hier, la bourse de Shanghai a clos en hausse de 2,7 %, éloignant les craintes d'un impact économique majeur du séisme sur l'économie chinoise, malgré une inflation à son plus haut niveau depuis douze ans.

Source; Sud ouest 15/05/2008

Voir les commentaires

Rédigé par Taichichouaneur

Publié dans #taichichuan-cotebasque

Repost0

Publié le 14 Mai 2008

Les régions les plus touchées par le séisme sont coupées du reste du pays. Des milliers de rescapés manquent de soins. 54 000 militaires sont mobilisés

Les secours tardent

Le plus violent séisme à frapper la Chine depuis plus de trente ans a fait au moins 20 000 morts et disparus dans la région du Sud-Ouest.
L'armée et les sauveteurs tentaient hier de s'approcher par tous les moyens (air, voie fluviale ou route) des zones les plus touchées par le séisme d'une magnitude de 7,9 qui a démoli des écoles, des habitations et des usines, lundi en plein après-midi. 54 000 hommes ont été détachés pour participer aux recherches, compliquées par des pluies torrentielles. Malgré les efforts de tout un pays, les secouristes ont d'énormes difficultés pour parvenir au plus près des zones sinistrées, en raison du mauvais temps et de l'état des routes, dont beaucoup ont été rendues impraticables.


Urgence. L'armée avait prévu de parachuter des soldats et de l'aide dans les zones difficiles d'accès, notamment autour de l'épicentre situé dans le district de Wenchuan, mais la météo l'a contrainte à modifier ses plans, a indiqué l'agence Chine nouvelle. « Des hélicoptères sont prêts à acheminer de la nourriture, des médicaments et de l'eau dans la région, dès que le temps le permettra », a déclaré à la télévision le général Li Shiming.
« Nous avons un besoin urgent de tentes, de nourriture, de médicaments et d'équipements de communications satellitaires », a déclaré Wang Bin, secrétaire du Parti communiste de Wenchuan, cité par Chine nouvelle. « Nous avons aussi besoin de personnel médical pour traiter les blessés », a-t-il ajouté. Zhu Jixiang, un employé de la Croix-Rouge dans la ville de Mianyang, à quelque 110 kilomètres de l'épicentre, a indiqué par téléphone que les produits de première nécessité manquaient cruellement dans les zones les plus touchées. « Aucun véhicule ne peut accéder à la région. Les gens ont abandonné les voitures et transporté les tentes et les couvertures à pied », a-t-il dit. « L'hôpital de Mianyang et ceux proches de Beichuan sont pleins. Nous manquons vraiment de médicaments et d'instruments chirurgicaux », a-t-il ajouté.


Collégiens. Les télévisions ont montré des images de bâtiments effondrés, de routes coupées en deux, de pans entiers de montagnes écroulés, et de survivants s'extirpant des débris. Le Premier ministre Wen Jiabao a reconnu que la situation était pire que les premières estimations, alors que des répliques continuent à secouer la région.
De nombreux enfants, qui étaient en classe à l'heure de la secousse, font partie des victimes. Environ un millier de collégiens et de professeurs sont décédés ou portés disparus après l'effondrement de leur collège du district de Beichuan, au nord-est du district de Wenchuan. Plus de 80 % des constructions se sont écroulées, selon des responsables de Beichuan.

Source: Sud ouest 14/05/2008

Voir les commentaires

Rédigé par Taichichouaneur

Publié dans #taichichuan-cotebasque

Repost0

Publié le 13 Mai 2008


L'épicentre est de situé à 31.084°N, 103.267°E, à 90 km au nord du Chengdu, Sichuan, China, qui s'est produit à 14:28:04 heure local le Lundi 12 Mai 2008. Le Tremblement de Terre est évalué entre 7.6 to 8.0 sur l'échelle de Richter. Plus de 12 autres seismes ont suivis dans les 6 heures suivantes d'une magnetude de 4 à 6 sur l'échelle.

Voir les commentaires

Rédigé par Taichichouaneur

Publié dans #taichichuan-cotebasque

Repost0

Publié le 12 Mai 2008

La Chine a fait publier un livre  illustré visant à informer les lecteurs, et particulièrement ceux de l'étranger, des vies moderne et passée du Tibet. 

     Le livre, intitulé "Tibet : Passé et Présent", est présenté en  chinois et en anglais pour la référence des lecteurs, a annoncé  mardi l'éditeur SDX Joint Publishing Company. 

     Avec des données et des photos convaincantes et abondantes, le  livre documente fidèlement la vie misérable du peuple tibétain  sous le servage féodal d'avant 1951, selon l'éditeur. 

     Le livre expose également les progrès historiques dans  l'économie, la politique, la culture et la construction sociale du nouveau Tibet sous la direction du gouvernement central chinois,  et la vie heureuse actuelle du peuple local, toujours selon la  même source.

Source : BEIJING, 22 avril (Xinhua)

Voir les commentaires

Rédigé par Taichichouaneur

Publié dans #taichichuan-cotebasque

Repost0

Publié le 10 Mai 2008

La Chine a ordonné à toutes les  usines pharmaceutiques d'étiqueter les médicaments qui contiennent des stimulants afin d'éviter que les athlètes prennent par erreur  des médicaments interdits pendant les Jeux olympiques, a-t-on  appris d'un officiel chargé de la supervision pharmaceutique. 

     Les pharmacies ont reçu l'ordre de ne pas vendre de tels  médicaments sans l'étiquette précisant "avertissement aux athlètes " sur l'emballage, a précisé Wu Zhen, directeur adjoint de  l'Administration d'Etat de Surveillance et de Contrôle des  Aliments et des Médicaments, au cours d'une conférence de presse  en marge de la session annuelle de l'APN, parlement chinois. 

     Seules les usines et grossistes pharmaceutiques qualifiés sont  autorisés à produire ou vendre en gros des préparations  d'assimilation de protéines et des hormones peptidiques, selon  l'officiel. 

     Ces mesures favorisent un environnement loyal et propre pour  les Jeux, a ajouté Wu. 

     Un catalogue de médicaments nécessaires pendant les JO a été  dressé. 

     La Chine est déterminée contre le dopage, et les JO de Beijing  compteront le plus grand nombre de tests de dopage dans l'histoire des Jeux, selon le Comité d'Organisation des Jeux Olympiques de  Beijing (BOCOG). 

     Les conditions anti-dopage ont été diffusées auprès de tous les athlètes participant aux JO de Beijing, d'après la même source.  

Voir les commentaires

Rédigé par Taichichouaneur

Publié dans #taichichuan-cotebasque

Repost0

Publié le 8 Mai 2008

Des provinces chinoises luttent  contre la sécheresse qui empire, entraînant des pénuries d'eau  pour les habitants et le bétail et affectant les cultures  céréalières. 

     La province du Shandong a investi 500 millions de yuans (50  millions d’euros) pour creuser 280 000 puits et construire des  centaines d'autres installations pour l'eau, selon le département  provincial des ressources en eau. 

     Les précipitations moyennes ont été de 17 mm au Shandong  jusqu'ici cette année, soit environ les trois quarts de la moyenne en temps normal. 

     Le centre provincial pour la lutte contre la sécheresse a  indiqué que la construction des projets liés à l'eau avait aidé à  alléger la pénurie d'eau pour 250 000 personnes et 200 000 têtes  de bétail. 

     La province voisine du Hebei fait aussi face à une grave  sécheresse, qui a affecté 3 millions d'hectares de terres  cultivables et provoqué une pénurie d'eau potable pour les  habitants dans certaines zones. 

     Il s'agit de la 12e sécheresse printanière consécutive dans la  province, selon le département des ressources en eau du Hebei. 

     Le Hebei a connu seulement 7 mm de précipitations en moyenne  depuis l'hiver, soit environ 60% de moins qu'en temps normal. 

     La sécheresse a abaissé les niveaux souterrains de l'eau d'un à deux mètres dans les plaines et rendu 50 000 puits inutilisables. 

     Dans la province du Jilin (nord-est), les services de  fabrication de pluie artificielle se tiennent prêts au cas où des  conditions climatiques favorables se présenteraient. 

     Le Jilin a enregistré 1,4 mm de précipitations en moyenne entre le 1er janvier et le 3 mars, seulement 10% de la moyenne des  années normales. 

    La province du Liaoning, voisine du Jilin, a  mené des opérations de pluie artificielle dans de nombreuses zones, ce qui a apporté 120 millions de mètres cubes de précipitations.  

Voir les commentaires

Rédigé par Taichichouaneur

Publié dans #taichichuan-cotebasque

Repost0

Publié le 6 Mai 2008

Le Bureau municipal du paysagisme  et de la sylviculture de Beijing a interdit la cueillette de 80  espèces de plantes afin de protéger les plantes en voie  d'extinction de la ville, selon une annonce sur son site internet. 

     "Les plantes de cette liste sont devenues rares par rapport  aux années précédentes en raison des activités humaines, de  l'élévation de la température planétaire et à la diminution de  l'eau nutritive", a dit un employé de la section de protection de  la faune et de la flore sauvages du bureau. 

     "Mais ces plantes ne disparaîtront pas si des mesures de  protection appropriées sont prises", a-t-il ajouté. 

     "La sélection des plantes était basée sur les études menées  conjointement pendant un an par le bureau et le Bureau municipal  de l'Agriculture de Beijing. La liste des plantes a été finalisée  par une équipe d'experts." 

     Ceux qui cueillent et arrachent ces plantes encourent une  amende. Le prélèvement des échantillons pour des recherches  scientifiques doit être approuvé par le bureau. 

     Des mesures de punition spécifiques sont encore en discussion.  

Voir les commentaires

Rédigé par Taichichouaneur

Publié dans #taichichuan-cotebasque

Repost0